
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
2 décembre 2024, par
Zelinsky, Biden et Macron font de l’écume alors qu’ils sont emportés par la vague. Le mandat du premier est terminé et se maintient prétextant la guerre. Le second a déjà reçu son successeur Trump et lui transmettra le pouvoir, le 20 janvier. Le troisième termine son 2e mandat en queue de poisson. Le trio monte l’écume en nuage et les médias font l’impasse sur le fond.
Quel gâchis pour le président ukrainien qui s’est crû malin de suivre Hollande et Merkel qui lui ont conseillé de ne pas appliquer les Accords de Minsk de 2014 qui garantissait l’intégrité de son pays. A la place, ils visaient au renforcement militaire de l’Ukraine contre la Russie. En 2022, Zelinsky commet une deuxième erreur de jugement en suivant les promesses de Boris Johnson et consorts qui lui ont demandé de stopper les pourparlers de paix. A la clef, il y avait l’assurance d’une victoire militaire sur la Russie. Tous les Parlements, en Europe et aux États-Unis, ont été transformés en officine de propagande. Scénarisé jusqu’au détail, l’habit militaire du président ukrainien, accentue le phénomène d’écume. Adulé de partout, il n’a pas vu que la vague de fond conduisait à la défaite totale, avec un territoire amputé de 25 % ! Les millions de morts et d’estropiés doivent remercier Hollande, Merkel, Johnson, voire Biden ?
Le sort du Président de la plus grande puissance militaire, économique, commerciale, technologique et financière du monde pourrait alimenter un film hollywoodien. Lancé en pleine campagne électorale, avec la ferme intention d’arracher un 2e mandat, il est retiré de la course pour défaillances physiques et mentales. Ses conseillers craignaient une défaite électorale. Bilan ? C’est exactement ce qu’il s’est produit. Ils ont ignoré la vague de fond, alimentée par la solidarité mondiale en faveur de la Palestine. L’Administration Biden restera gravée dans l’histoire de l’Humanité pour son refus répété d’un cessez-le-feu humanitaire à Gaza. La faillite des valeurs morales de l’Occident.
Mais, le summum de l’écume, c’est lorsque Macron s’époumone à sauver Netanyaou de la condamnation judiciaire et de couvrir son échec personnel dans une offensive militaire mitigée. Pour la première fois, les villes importantes d’Israël sont bombardées par le Hezbollah. La population israélienne doute que le gouvernement soit en capacité d’assurer la sécurité. Beaucoup d’habitants quittent le pays. Le tourisme s’effondre. Pourtant, le Premier ministre d’Israël est soutenu par Biden qui lui fournit des moyens financiers et des armes contre des populations civiles démunies : des dizaines de milliers de femmes et d’enfants sont morts. Des journalistes et des médecins sont tués en missions professionnelles. Macron devra expliquer, de quoi étaient-ils coupables pour mériter ce châtiment.
Au même moment, le Sénégal et le Tchad demandent à la France de retirer ses armées, adoptant la tendance du Mali, du Niger et du Burkina-Faso. L’ultime humiliation de la France consiste à dire qu’il ne s’agit pas de rupture. Personne n’a oublié les menaces de Macron contre les nouveaux dirigeants du Niger. Cinq pays francophones qui se barrent, constituent une vague de fond. Pour ne pas arranger les affaires de Macron, un vice-Premier ministre russe et une forte délégation visitaient les 3 pays de l’AES. Enfin, le régime présidentiel vacille et n’arrive pas à voter son budget.
Apparemment, l’écume de ce trio ne semble pas briser le silence de la vague de Trump qui possède désormais tous les pouvoirs. Soit il propose un Traité de Sécurité et de Paix pour Tous, soit il sombre lui aussi dans le tourbillon de l’écume. Après son élection, il a recueilli 18 % de bonnes intentions supplémentaires. S’il échoue à satisfaire les fortes attentes de son peuple, il devra s’en prendre à lui-même, car la Chine lui a déjà proposé d’agir, ensemble, en faveur d’une communauté de destin partagé.
Ary Yee-Chong-Tchi-Kan
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