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Tentative de rééquilibrer les échanges commerciaux
30 janvier 2015, par
En visite pour trois jours dans l’Empire du milieu, le Premier ministre, Manuel Valls est allé courtiser les investissements de la seconde puissance économique mondiale. Son objectif est de rééquilibrer les relations commerciales entre la France et la République populaire.
Accompagné du ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, des Relations avec le Parlement Jean-Marie Le Guen, et aussi de l’ancien Premier ministre spécialiste de la Chine Jean-Pierre Raffarin, Manuel Valls va devoir doubler d’effort pour inciter les Chinois à investir en France. D’autant plus que les investisseurs chinois déplorent un niveau d’ouverture du marché français insuffisant.
Manuel Valls a appelé à « remédier au déséquilibre » des échanges commerciaux entre la France et la Chine. Les exportations de la Chine vers la France sont ainsi 2,5 fois plus élevées que celles de la France vers la Chine. Et les investissements chinois en France sont eux aussi bien inférieurs.
Pour le Quotidien du Peuple, « les échanges économiques entre la France et la Chine ne sont pas aussi bien équilibrés qu’auparavant ». En effet, entre janvier et novembre 2014, le déficit commercial extérieur de la France par rapport à la Chine s’est élevé à 24,2 milliard euros, soit 37 % de la dette totale française, et 25,8 milliards d’euros en 2013.
Pour réduire cet écart, le Premier ministre a évoqué des « réformes ambitieuses » et des « orientations très claires » qui devraient être prises par le gouvernement français afin de renforcer la compétitivité des entreprises françaises. Cependant, « la question du rééquilibrage des échanges – il faut également le dire – dépendra d’une plus grande réciprocité dans nos échanges commerciaux », a précisé Manuel Valls. Cette réciprocité devra selon lui reposer « sur la confiance et la connaissance mutuelle de nos atouts ».
Interviewé par des médias chinois, Manuel Valls a assuré que « la France est plus que jamais ouverte à la Chine, à ses investisseurs, à ses étudiants et à ses touristes ». Il a mis en avant les derniers investissements chinois en France comme l’aéroport de Toulouse et la société Club Med. Manuel Valls a évoqué la possibilité pour les Chinois d’investir dans les télécommunications. Ce dernier s’est dit « très favorable » à accueillir un centre de recherche en France du géant chinois Huawei.
Arrivé ce jeudi 29 janvier à Tianjin, Manuel Valls, s’est directement rendu à l’usine d’assemblage Airbus, symbole de la réussite française et du partenariat franco-chinois. Inaugurée en 2008, l’usine de Tianjin produit quatre A320 par mois. 49 % du marché d’Airbus se situe en Chine, un chiffre qui devrait s’accroitre dans les années à venir, à travers notamment l’installation dans la même ville d’un centre d’aménagement cabine dédié aux A330 destinés au marché chinois.
Au cours de sa visite de l’usine d’assemblage d’A320, le Premier ministre a assuré que celle-ci « illustre parfaitement le dynamisme de notre relation ». La France, qui « accueille tous les investisseurs, Chinois en tête », est « déterminée à renforcer ce partenariat de long terme », a-t-il assuré.
De son côté, le PDG d’Airbus Fabrice Brégier, s’est dit “sûr” que l’avionneur européen allait mener à bien son projet de « centre de finition » de l’A330, spécialement adapté au marché chinois, « sous réserve qu’il reçoive un nombre suffisant de commandes » de la part de compagnies chinoises. Le marché chinois est l’un des plus importants pour Airbus, qui fournit un avion sur 5 à la Chine et travail étroitement avec les industriels du pays.
D’après Song Xinning, directeur du Centre de recherche de l’Europe à l’Université du peuple, cite par Le Figaro, « en Europe, c’est l’Angleterre et non la France, qui est devenue le leader de l’ouverture aux Chinois dans les secteurs des installations et des infrastructures ». La visite de Manuel Valls vise principalement à faire oublier les différends et à augmenter ostensiblement les investissements. D’autant que pour les Chinois, la France « a été beaucoup plus fortement impactée par la crise de dette en Europe par rapport à l’Angleterre et à l’Allemagne », selon le journal officiel, ajoutant que « c’est une entrave aux échanges commerciaux entre les deux pays ».
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