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Les dons manquent, où est la solidarité ? 19 millions demandés, 3,5 récoltés au bout de plusieurs semaines
17 avril 2019
Les agriculteurs vivant dans les zones ravagées par le passage du cyclone tropical Idai au Mozambique commencent à recevoir les intrants agricoles dont ils ont tant besoin, grâce à l’effort conjoint de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et du Ministère de l’agriculture et de la sécurité alimentaire du Mozambique.
Pour commencer, ce seront 15 000 ménages vulnérables dans les provinces de Manica et de Sofala, soit environ 75 000 personnes, qui recevront des kits agricoles contenant des houes, des machettes et des graines de maïs et de haricots à maturation précoce. Une fois semées, ces graines seront prêtes à être récoltées au bout de 90 jours. La distribution de semences aura lieu parallèlement à la distribution de rations alimentaires par le Programme alimentaire mondial (PAM), ce qui permettra de dissuader les bénéficiaires de consommer les graines sur-le-champ au lieu de les planter.
Les agriculteurs de ces deux provinces produisent à eux seuls environ 25% de la production céréalière nationale, mais la quasi-totalité de leurs récoltes a été emportée par Idai. La plupart d’entre eux ont perdu la totalité ou une majeure partie de leurs réserves de semences, ainsi que les récoltes qu’ils étaient sur le point d’exploiter.
La distribution de kits agricoles organisée par la FAO permettra aux agriculteurs les plus démunis de Manica et de Sofala de remettre leurs terres en culture pendant la campagne agricole secondaire en cours, pour laquelle les semis ont démarré en avril et les récoltes sont prévues en juillet.
Outre les denrées alimentaires, les ménages bénéficiaires pourront également produire leurs propres semences à planter en octobre, au moment où la principale campagne agricole du pays doit commencer. Il est très important de sauvegarder la principale campagne et de veiller à ce que les familles rurales puissent y participer pleinement de manière à pouvoir rétablir la sécurité alimentaire au Mozambique, un pays où le passage dévastateur du cyclone Idai a entraîné des pertes humaines et une destruction des moyens de subsistance. Les infrastructures de pêche, les magasins d’alimentation et de céréales, ainsi que le bétail ont été emportés et des centaines de milliers d’hectares de cultures ont été complètement détruits.
La région située au centre du Mozambique est le grenier à pain du pays et joue un rôle essentiel dans l’atténuation des pénuries alimentaires, tandis que la ville portuaire de Beira, située dans la province de Sofala, constitue le centre névralgique des échanges commerciaux. La dégradation des infrastructures du port de Beira et des liaisons de transport pourraient paralyser l’importation de céréales – environ 1 million de tonnes de blé et de riz sont importées chaque année dans le pays.
Avant le passage du cyclone Idai, les provinces touchées avaient déjà été frappées par plusieurs sécheresses et inondations au cours des trois dernières années. Par conséquent, elles se trouvaient déjà dans une situation d’insécurité alimentaire chronique et étaient extrêmement vulnérables aux chocs extérieurs. En décembre 2018, le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) estimait à 1,78 million le nombre de personnes en situation de crise ou d’insécurité alimentaire aigüe.
La FAO a lancé un appel de fonds préliminaire de 19 millions de dollars afin de reconstruire les infrastructures stratégiques pour l’agriculture et la pêche, de relancer la production alimentaire locale et d’aider les éleveurs de bétail. A ce jour, 3,85 millions de dollars ont été alloués pour assurer une aide d’urgence à près de 95 000 personnes. Il reste à trouver le montant restant de 15,5 millions de dollars, soit 80% du montant total.
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Messages
17 avril 2019, 19:36, par Didier
3,40 millions d’euros seulement, et un mois après le passage du cyclone Idai, pour secourir 90 000 personnes en urgence absolue... mais bientôt 1 milliard d’euros récoltés deux jours après l’incendie de la cathédrale parisienne pour reconstruire sa toiture.
Ceci est tout à fait révélateur du monde inhumain dans lequel nous vivons aujourd’hui !
La bourgeoisie préfère ses tableaux de maîtres et entretenir les monuments témoins de son pouvoir sur le petit peuple plutôt que secourir celui-ci. Le capitalisme est vraiment un système qui a fait son temps et qu’il faut détruire pour que vive l’Humanité !