
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
27 juinLa dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Santé
300 millions de malades dans le monde situés en majorité dans notre région
30 avril 2003
Quelque 11 pays membres de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) ont célébré ensemble vendredi la Journée mondiale du Paludisme en renouvelant leur promesse de mettre un terme à la propagation de cette maladie tropicale mortelle associée à la pauvreté.
Profitant d’une cérémonie organisée à Dar es-Salam en Tanzanie pour marquer la fin du rallye régional destiné à susciter une prise de conscience de la réalité du paludisme, les ministres de la Santé des pays de la SADC ont fait part du renouvellement de l’engagement des chefs d’État africains en 2000 à Abuja, au Nigeria, de lutter contre la pandémie du paludisme. La déclaration d’Abuja engage notamment les chefs d’État africains à réduire ou à annuler les taxes et les tarifs douaniers appliqués sur les moustiquaires et autres équipements tels que les insecticides, les médicaments antipaludéens et autres produits et services utiles dans le cadre des stratégies de lutte contre le paludisme.
Les représentants de l’Angola, du Botswana, du Lesotho, du Malawi, du Mozambique, de la Namibie, du Swaziland, de l’Afrique du Sud, de la Zambie, du Zimbabwe et du pays hôte ont renouvelé leur engagement devant le vice-président de la Tanzanie, Ali Mohammed Shein, au cours d’une cérémonie publique devant une assistance de plusieurs milliers de personnes.
Cet événement était le temps fort de la "Course contre le paludisme", dont le départ a été donné au début du mois en Afrique du Sud, dans le but de fournir d’ici à 2005 aux femmes enceintes et aux enfants des moustiquaires imprégnées aux insecticides et un traitement efficace contre le paludisme. Les forces armées des pays participants ont été mises à contribution. S’exprimant à l’occasion de ce rallye, le vice-président de la Tanzanie a affirmé que les gouvernements de la région devraient élargir leurs partenariats à d’autres acteurs s’ils souhaitent arrêter la progression du paludisme, actuellement responsable en Afrique subsaharienne de la mort de milliers de personnes, pour la plupart des enfants.
En ce qui concerne le continent africain, les pertes économiques dues à la maladie sont colossales, a ajouté Ali Mohammed Shein. Pour sa part, la ministre sud-africaine de la Santé, Manto Shabalala Msimang, par ailleurs présidente de l’assemblée des ministres de la Santé de la SADC, a affirmé que « les ressources investies dans cette initiative sont largement justifiées par les résultats obtenus ». Avec la "Course contre le paludisme", a-t-elle indiqué, la sous-région a mis en place de nouveaux partenariats qui seront mis à contribution pour trouver de nouvelles sources susceptibles de contribuer à la lutte contre la propagation du paludisme et d’autres maladies.
Malgré des années de travail, les chercheurs n’ont pas encore réussi à trouver un vaccin devant permettre de prévenir la maladie. Par ailleurs, le nombre de victimes du paludisme devrait augmenter car le parasite vecteur de cette maladie développe de plus en plus une résistance aux médicaments tels que la chloroquine. Au cours des dernières années, plusieurs initiatives de grande envergure ont été mises en place pour lutter contre cette affection, notamment le projet "Faire reculer le paludisme", un programme mondial qui fait intervenir les gouvernements, des organismes de développement et d’assistance ainsi que des organisations du secteur privé.
La ministre sud-africaine a dit sa satisfaction de voir que, dans la région, un programme de lutte contre le paludisme impliquant le Mozambique, le Swaziland et l’Afrique du Sud, dans le cadre de l’Initiative de développement spécial de Luhombo, a réussi à alléger la charge du paludisme dans les trois pays concernés.
« Les partenariats doivent être soutenus afin d’éradiquer la maladie et le sous-développement, dans l’esprit du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique », a-t-elle ajouté. Il ressort des conclusions des recherches effectuées en Afrique centrale et australe, où sont enregistrés la plupart des 300 millions de cas de paludisme dans le monde, que l’utilisation de moustiquaires imprégnées peut réduire d’au moins 20% l’incidence du paludisme chez les enfants, qui appartiennent au groupe le plus vulnérable.
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Des associations de défense de l’environnement et des citoyens sinistrés ont annoncé avoir déposé un recours pour obliger le gouvernement à (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Le Parti socialiste reproche au Premier ministre, François Bayrou d’avoir refusé de déposer un projet de loi sur les retraites permettant au (…)
Le Syndicat des énergies renouvelables a appelé les députés à rejeter la proposition de loi sur la programmation énergétique.
Au séminaire du 17 mai 2025, consacré au centenaire de la naissance de Paul Vergès, le PCR avait organisé 3 débats : ne soyons pas esclave de (…)
Face à l’urgence climatique et sociale, seize associations citoyennes et environnementales de La Réunion unissent leurs voix pour interpeller les (…)
Tou-lé-zan, dann moi zanvié-févrié, Tikok i sa rod gèp ek son bann kamarad. Zot i tras dann piton, la savann, la ravine… partou, é, souvandéfoi, i (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)