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Rapport de l’ONU sur la crise sociale globale
26 août 2011, par
Le département d’Économie et des Affaires sociales des Nations Unies a rapporté les conséquences de la crise économique, financière et politique sur les travailleurs et les chômeurs. Sha Zukang, secrétaire général du département, a expliqué que la fragilité de l’économie allait aggraver la situation.
Avant la crise, plusieurs pays avaient un nombre élevé de chômeurs et de travailleurs pauvres, l’effondrement de la banque Lehman Brothers a entraîné une crise financière et économique considérable sur l’emploi. Fin de 2009, le nombre de chômeurs dans les pays membres de l’Union européenne a augmenté de près de 14 millions par rapport à celui existant avant la crise, soit une augmentation de près de 50% indique le rapport des Nations Unies sur la “Crise sociale mondiale”. L’augmentation du nombre de chômeurs est « supérieure à celle de tout autre groupe de pays, soit plus du double de l’augmentation du total de 6 millions enregistré en Asie de l’Est ».
Hausse du chômage dans les économies développées
Le taux de chômage a fortement augmenté dans les économies développées et dans l’Union européenne, de 5,8 à 8,4% entre 2007 et 2009. Le rapport du DAES a indiqué que les « entreprises privées et institutions publiques ont supprimé des millions d’emplois et gelé de nouvelles embauches cherchant à réduire les coûts de main-d’œuvre en vue de l’adaptation à une demande en diminution pour leurs produits et services ».
Ces décisions ont déclenché une hausse globale du nombre de chômeurs passant à 205 millions à la fin 2009, soit 27 millions de plus qu’en 2007. Selon les dernières estimations de l’Organisation Internationale du Travail, le chômage mondial est resté stable en 2010 par rapport à 2009 mais « l’insécurité globale relative à l’emploi a augmenté ».
Les taux de chômage dans la Zone Euro a augmenté selon Gecodia (site dédié à l’analyse de la conjoncture et à l’étude économique et couvre l’ensemble des zones, de la région aux pays émergents) de 7,5% avant la crise en 2007 à 10% en 2010. De même, les États-Unis ont connu une forte progression en trois années, passant de 4,6% à 9,6%.
Accroissement de la pauvreté
Face à cette situation, les économies des pays créent peu d’emploi, privilégiant le sous-emploi, ou l’emploi précaire, c’est-à-dire de courtes heures de travail ou de temps partiel. Prenant exemple sur des pays développés comme l’Australie, le Canada et les États-Unis, le rapport explique que depuis fin 2009, « la croissance des emplois à temps partiel a représenté 40% de la croissance de l’emploi » dans ces pays. Les salariés eux doivent faire face à une diminution de leurs salaires, augmentation des heures non payées, ou encore « une réduction des revenus du fait de périodes de travail raccourcies ». Ces derniers assistent également la détérioration des conditions de travail.
« Dans les pays en développement, où la plupart des travailleurs ne peuvent tout simplement pas se permettre d’être au chômage, le sous-emploi prend généralement la forme de l’emploi informel ». En effet, le travail au noir devient monnaie courante, entraînant la baisse du revenu-salaire, baisse de la productivité, des conditions de travail plus difficiles et le risque accru de pauvreté.
Ces conditions de travail ont entraîné une hausse de la pauvreté et les années à venir ne devraient pas atténuer ces conséquences d’une mauvaise gouvernance mondiale sur les économies développées, mais aussi en voie de développement.
Céline Tabou
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