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24 mai 2012, par
Après la révolte qui a duré plusieurs semaines, les Égyptiens sont appelés aux urnes pour élire leur nouveau président, depuis la chute du président Hosni Moubarak. Le premier tour de cette élection se déroule après une période de transition tendue entre les différentes forces politiques et le Conseil suprême des forces armées (CSFA), qui dirige le pays depuis le départ de l’ex-président.
D’après un sondage publié dans la presse égyptienne, 60% des Égyptiens hésitent entre deux candidats islamistes et trois laïcs. Le second tour est prévu les 16 et 17 juin, si la barre des 50% n’est atteinte par aucun candidat.
Les principaux candidats sont Mohammed Morsi, des Frères Musulmans, le candidat indépendant Abdel Moneim Aboul Foutouh, le dernier Premier ministre d’Hosni Moubarak, Ahmad Chafiq, l’ex-ministre des Affaires étrangères et ancien patron de la Ligue Arabe Amr Moussa et le nationaliste, Hamdeen Sabbahi.
Une élection historique et floue
Depuis la fin de la révolution le 11 février 2011, date à laquelle le pouvoir a été transféré à l’armée, la première élection présidentielle libre et ouverte de l’Histoire de l’Égypte s’est ouverte mercredi 23 mai, dans un climat d’extrême confusion et de tension latente, a indiqué “Le Monde”. 5 candidats se sont fait remarqué lors de la campagne présidentielle, mais faute de sondage fiable, les pronostiques restent incertain. Une chose certaine, si aucun imprévu n’arrive, le Conseil suprême des forces armées (CSFA) remettra ses pouvoirs à la nouvelle autorité civile.
Devenue l’autorité, l’armée a officiellement refusé d’intervenir dans la campagne et assuré que l’élection sera « honnête » et « transparente », et elle s’est engagée à respecter le résultat. Toutefois, ces derniers jours, plusieurs concurrents ont mis en garde contre des risques de fraude. « Les Frères musulmans laissent entendre qu’ils contesteront les résultats dans la rue si leur candidat n’est pas en tête du premier tour », a expliqué Hamdy Rizk, directeur de l’hebdomadaire proche du pouvoir el-Mussawar, au quotidien “Le Monde”. L’inquiétude persiste également chez les observateurs du Centre Carter, qui ont dénoncé des entraves à leur mission.
Les résultats du scrutin restent incertains, malgré les pressions des Frères Musulmans, qui souhaitaient gouverner le pays depuis la chute d’Hosni Moubarak. Pas assez murs pour gouvernement, la ligne politique des Frères Musulmans restent floue, en effet, Mohammed Morsi a étayé ses positions ultraconservatrices, notamment contre l’accession d’une femme ou d’un copte à la présidence, au moment où la confrérie tentée de rassurer les Occidentaux et les Égyptiens libéraux de son ouverture et sa modération.
Laïque, islamiste, un choix dense
Favori de l’élection, le candidat des Frères musulmans, Mohammed Morsi, devrait pouvoir s’appuyer sur le socle électoral des Frères Musulmans, qui ont remporté plus de 40% des voix lors des élections législatives. Conservateur social, Mohammed Morsi représente le courant dominant au sein de la confrérie, peut être plus parlant pour l’électorat islamiste que le modernisme de son rival Aboul Fotouh. En effet, ce dernier, Abdel Moneim Aboul Fotouh, est un islamiste qui se présente comme « libéral », il a su rassembler sur son nom des militants d’extrême gauche comme des salafistes ultraconservateurs.
Dans le camp « laïque », l’ancien secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa a fait toute sa campane autour d’une "IIème République". De son côté, l’ex-général Ahmed Chafiq, en appelle au vote Copte et à tous ceux qui redoutent la mainmise des islamistes sur tous les leviers du pouvoir. Enfin, le candidat « nassérien » Hamdine Sabahi se dit être le « candidat des pauvres » et le défenseur des acquis de la révolution.
En plus, des cinq outsiders, des petits candidats ont lancé leur campagne, tels que Khaled Ali qualifié de « révolutionnaire », le porte-voix de la Gauche, Aboul-Ezz Al-Hariri, Sélim Al-Awa, penseur islamique et avocat spécialisé en droit commercial, Hicham Al-Bastawisiest avocat et poulain du vieux parti socialiste égyptien et enfin, Ahmed Khairallah, favori du Conseil suprême des forces armées.
Céline Tabou
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