
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
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Le Premier ministre de l’Inde à Paris
10 avril 2015, par
Le Premier ministre indien, Narendra Modi est arrivé à Paris ce jeudi 9 avril, pour la première fois depuis son arrivée au pouvoir en juillet 2014. Ce dernier se rendra par la suite à Berlin, afin de promouvoir son pays, comme base industrielle.
L’Inde cherche à attirer les investissements étrangers, grâce à son plan « Make in India », dont le but est d’ouvrir le marché indien aux étrangers, avec comme axe de défense : « l’Inde est une nation de jeunes entrepreneurs et de jeunes créateurs », a rappelé Atul Chaturvedi. Ce dernier a la tâche de défendre l’attractivité de son pays au sein du ministère français du commerce.
Une fois en Allemagne, première économie de la zone euro, il y inaugurera la plus grande foire industrielle du monde, la Foire de Hanovre, et y mettra en avant sa campagne en faveur du « Make in India ». Le Premier ministre indien a indiqué sur les réseaux sociaux : « Je me réjouis de me rendre en France pour renforcer l’implication française dans notre programme Make in India, en particulier dans le secteur de la défense ».
Le Premier ministre indien rencontrera vendredi des chefs d’entreprises et visitera samedi le site d’Airbus à Toulouse (sud). Son but est de montrer l’efficacité de sa campagne « Make in India », qui devrait faciliter les démarches des entreprises en allégeant les contraintes bureaucratiques et en simplifiant la fiscalité.
En effet, selon les experts, le secteur des services ou de l’agriculture ne permettront pas de créer suffisamment d’emploi dans les décennies à venir. Raison pour laquelle, le plan « Make in India », lancé en septembre 2014, comprend plusieurs secteurs dynamiser par des mesures incitatives, une réglementation ad-hoc ou des transferts de technologie. Sont concernés, l’automobile, l’aéronautique, les énergies renouvelables, la chimie, le textile, le ferroviaire ou encore les TIC.
À Paris, le dossier le plus délicat sera celui des négociations autour de la vente de 126 Rafale à l’Inde. Le dossier est en cours depuis plus de trois ans, et tarde à se concrétiser en raison du coût, qui est passé de 11 milliards d’euros à 18,3 milliards. « Nous aurons des discussions sur le sujet », a confirmé le président François Hollande, le mardi 7 avril.
La France souhaite débloquer cet important contrat, prévoyant la fabrication de 108 appareils sur le sol indien, soit un transfert de technologie inédit. Selon le Times of India, l’Inde a demandé à Dassault Aviation de se fixer au prix initial, qui serait resté identique en euros, d’après Eric Trappier, patron de la compagnie française, qui a assuré que l’accord était « finalisé à 95 %".
« Normalement, on ne devrait pas avancer sur ce dossier qui est bloqué. Simplement il fait partie depuis l’élection de Narendra Modi, de sa tournée internationale. La France fait partie des cinq pays les plus importants dans l’histoire de l’Inde indépendante. Il ne faudrait pas que les Français confondent la visite de Narendra Modi, qui fait partie de son agenda diplomatique, et la vente des chasseurs Rafale » a expliqué à RFI, Jean-Joseph Boillot, conseiller au club du Centre de rechercher et d’expertise sur l’économie mondiale.
La France souhaite faire avancer la vente de six réacteurs nucléaires EPR à l’Inde, représentant une capacité 10.000 mégawatts. La société Areva a signé un protocole d’accord en février 2009 portant sur la fourniture de deux EPR dans un premier temps sur le site de Jaitapur, dans l’Etat de Maharashtra (ouest) mais encore une fois, le tarif auquel l’Inde achèterait l’électricité produite.
« C’est un gros projet qui porte sur six réacteurs mais qui ne peut être lié à une visite particulière », a indiqué l’ambassadeur de France en Inde, François Richier. En effet, en plus des dossiers des rafales et du nucléaire, la France va promouvoir ses entreprises spécialisées dans l’énergie solaire, ainsi que le savoir-faire français en matière de développement urbain.
La venue de Narendra Modi pourrait être une occasion pour les groupes français de profiter du projet du gouvernement indien de développer 100 « smart cities » (villes intelligentes) dotée d’infrastructures de transport, d’électricité et d’eau performantes. Axé sur le développement économique en Europe, le Premier ministre indien donne surtout la priorité au redémarrage économique de l’Inde, qui devrait croître de 8 % cette année.
« Le principal objectif pour Modi est d’améliorer sa base industrielle et de donner une impulsion à la croissance » a expliqué à l’AFP, Sujit Dutta, professeur de stratégie internationale à l’université Jamia Milia Islamia de Delhi.
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