
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Trombes d’eau dans le Sud de la Russie
9 juillet 2012
Provoquées par des pluies torrentielles dans la région de la Mer Noire, des inondations ont provoqué de très graves dégâts humains et matériels dans le Sud de la Russie. C’est du jamais vu depuis 70 ans. 70 ans, c’est à quelques années près le temps qui nous sépare du dernier grand cyclone qui a tout ravagé sur son passage dans notre pays, le cyclone de 1948.
Le bilan des victimes des inondations au Kouban (sud de la Russie) s’élève à 146 morts, a annoncé dimanche à RIA Novosti le porte-parole du comité d’enquête régional, Ivan Sneguerov.
« 134 personnes ont péri dans le district de Krymsk, neuf à Guelendjik et trois à Novorossiisk », a-t-il précisé.
Selon les données disponibles hier matin, 104 personnes, dont 13 enfants, ont été hospitalisées.
Provoquées par des pluies torrentielles et de violentes crues, les inondations ont touché dans la nuit du 6 au 7 juillet des zones où résident environ 12.000 personnes. Le sinistre s’est particulièrement abattu sur les villes de Guelendjik et de Novorossiisk, ainsi que sur le district de Krymsk dans le Territoire de Krasnodar. L’état d’urgence a été décrété dans les zones inondées.
Sur le plan matériel, le dommage infligé par les inondations dans le Territoire de Krasnodar peut dépasser un milliard de roubles (environ 25 millions d’euros), rapporte samedi l’administration locale sur son site.
« Le représentant plénipotentiaire du président russe dans la Région fédérale du Sud, Vladimir Oustinov, a indiqué, lors d’une réunion de la cellule de crise, que le dommage infligé par les inondations pourrait dépasser un milliard de roubles, vu l’envergure du sinistre », lit-on dans le communiqué.
Surpris pendant leur sommeil
Alors que le nombre des victimes n’a cessé d’augmenter et que le mécontentement grandissait dans la région, selon les témoignages, mais aussi sur l’internet où se multipliaient les accusations de négligence, Vladimir Poutine s’est rendu dans la zone.
« Le président a survolé en hélicoptère les zones les plus touchées par les pluies et les inondations », a indiqué le Kremlin, ajoutant que Vladimir Poutine se trouvait samedi soir à Krymsk pour une réunion de crise.
La veille, alors que de fortes pluies avaient déjà entraîné des inondations à Gelendjik, les médias avaient fait état de la mort de 5 personnes électrocutées par des câbles électriques immergés. Mais selon les témoignages, une violente crue s’est déclenchée dans la nuit, vers 3 heures du matin, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.
Jamais vu depuis 70 ans
« L’eau est montée très vite, elle a inondé le rez-de-chaussée des maisons en 5-10 minutes, a emporté des bordures de trottoir et même des plaques d’asphalte », a déclaré par téléphone une habitante de Krymsk, Tatiana Antonovna. « C’était très inattendu, beaucoup de personnes âgées ont dû périr », a ajouté cette femme, épargnée car sa maison est bâtie sur une hauteur. « Des canots sont apparus dans les rues voisines au matin, une femme avait passé la nuit dans un arbre et a été sauvée », a-t-elle encore raconté.
D’autres témoins cités par Ria Novosti ont décrit un « mur d’eau » qui dévastait tout sur son passage.
Selon l’agence Itar-Tass, citant les forces de l’ordre, le niveau de l’eau a atteint 7 mètres dans le district de Krymsk. « On n’a rien vu de pareil depuis 70 ans », a déclaré le gouverneur de la région de Krasnodar, Alexandre Tkatchev.
L’enjeu de l’adaptation
Toute une région de la Russie a été surprise par la montée soudaine des eaux. En quelques heures, les dégâts étaient irrémédiables avec de nombreux décès.
Selon le gouverneur de la région, il faut remonter à 70 ans pour retrouver de telles pluies. C’est bien que le souvenir de ce phénomène est là, mais que malgré tout, il n’a pas été possible de protéger la population.
Cette protection, c’est l’enjeu de l’adaptation. À La Réunion existe encore le souvenir du cyclone de 1948, d’une violence nettement supérieure à ce que nous avons connu depuis. Tout ce qui a été construit depuis est-il capable de résister à un cyclone aussi puissant ?
Mézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Au 1er juin, les chiffres du ministère de la Justice ont établi à 84 447 personnes détenues pour 62 566 places. La surpopulation carcérale (…)
Vingt ans après la loi Handicap et au terme de six mois de mission, les rapporteurs Audrey Bélim, (Socialiste, Écologiste et Républicain – La (…)
L’État poursuit les versements d’indemnisations des aides en faveurs des exploitations agricoles sinistrées par le cyclone Garance et la (…)
Mézami, mo bann dalon, mi panss zot i koné zistoir-la é pétète zot néna in linterprétassion.Mwin pou mon prop konte, mi oi sa konm in kékshoz (…)
Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes a assuré que “ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage”, car “nos finances publiques (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)