
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Après le verdict des urnes dans les 25 États-membres
15 juin 2004
L’élection du Parlement de l’Union à 25 a été marqué par une participation de 45,3% en moyenne - et seulement 26,4% dans les dix nouveaux États membres. Les rapports entre les différents grands partis n’ont guère changé. Étant donné qu’aucune formation ne détient la majorité absolue des sièges, une coalition devra émerger du nouveau Parlement. Les discussions ont déjà commencé.
Renouvelé en totalité la semaine dernière, le nouveau Parlement a un visage assez semblable au précédent, élu en 1999. Les conservateurs du PPE restent la principale force avec 276 sièges sur un total de 732 et sont les seuls à disposer de députés dans les 25 pays membres. Pour le président de ce parti, le Belge Wilfried Martens, les chefs d’État et de gouvernement de l’UE doivent tenir compte du rapport de forces, accepter l’inclusion d’une référence à Dieu dans la Constitution de l’UE et nommer un président de la Commission européenne qui soit issu des rangs des conservateurs.
Parmi les pressentis figurent le Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, largement en tête dans son pays, et le chancelier autrichien Wolfgang Schüssel.
Le plan pourrait réussir si le PPE parvient à persuader les socialistes (PSE), deuxième force du nouveau Parlement, de renouer la coalition qui leur a permis pendant 20 ans, de 1979 à 1999, de se partager les postes - présidence du Parlement, des commissions parlementaires et, désormais, de la Commission.
"Pendant les cinq dernières années, le PPE s’est allié avec les libéraux et l’expérience a été très dure à la fois pour les conservateurs et les socialistes", souligne un membre du PSE.
Mais les ambitions des conservateurs de recréer cette grande coalition pourraient être contrariées par le verdict des urnes. Une vingtaine des députés centristes du PPE, issus notamment l’UDF et les partisans de Romano Prodi en Italie, lassés de devoir composer avec des conservateurs britanniques anti-européens, entendent quitter cette formation et créer un Parti démocrate européen. Ils sont en négociation pour rejoindre le groupe libéral et ses 66 députés pro-européens. Leur objectif est de contrebalancer l’influence de la centaine d’opposant à l’Union qui font une entrée remarquée dans la nouvelle assemblée.
Une alliance pro-européenne regroupant les libéraux, les socialistes et les Verts, qui se sont déclarés preneurs par la voix de leur dirigeant, Daniel Cohn-Bendit, pourraient naître. Le président du PSE, Paul Nyrup Rasmussen, a refusé lundi d’ouvrir son jeu à ce stade prématuré des négociations, mais s’est montré "très intéressé" par le parti centriste. Va-t-on vers une nouvelle majorité ?
Vira et Hamilcaro
Tortu i voi pas son ké !
Se plaçant dans la voie ouverte par un de nos confrères de la presse écrite faisant office d’organe de presse du Parti socialiste, Jean-Paul Virapoullé et Cyrille Hamilcaro ont fait le procès de l’Alliance, en parlant d’un "échec" alors même que l’Alliance est arrivée en première position à La Réunion et qu’elle est la première force politique de l’Outre-mer !
Vira et Hamilcaro devraient plutôt commenter les résultats de leurs communes ! À Saint-André, l’Alliance est arrivée en tête et la candidate soutenue par Vira n’a fait que 26%. Vira perd décidément pied dans sa commune, où il est de plus en plus rejeté.
À Saint-Louis, la liste de l’Alliance devance les listes de l’UMP et de l’UDF réunies. Cela devrait faire réfléchir Cyrille Hamilcaro. Mais lui et Vira préfèrent s’attaquer à l’Alliance.
On peut dire que les scrutins de mars et de dimanche derniers leur ont fait perdre la tête pour proférer les inepties qu’on a entendues de leur bouche sur RFO. En ouvrant largement ses antennes à de telles sornettes, la station du Barachois à visiblement choisi sans doute d’étendre sa plage d’humour !
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