
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Le monde change
7 août 2018
Les Accords de partenariat économique (APE) qui visent à remplacer l’Accord de Cotonou ont pour but de fixer de nouvelles relations commerciales entre les pays africains et l’Union européenne. Mais depuis la signature de Cotonou, le monde a changé et la Chine est devenue depuis 8 ans le premier partenaire commercial de l’Afrique. Les APE s’apparentent alors à une stratégie défensive, pour permettre aux Européens de préserver leur position.
Au moment où l’on s’achemine vers la fin des négociations formelles entre le groupe des pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) et la Commission de l’Union européenne, en prévision de l’expiration en 2020 de l’Accord en cours, la Chine vient de confirmer à Pékin sa volonté de renforcer ses liens de coopération avec l’Afrique.
Selon un document rendu public par l’Assemblée parlementaire européen, « le principal défi pour l’Union européenne est de maintenir ses relations dans la région, tout en restant fidèle aux valeurs promues dans les Traités européens ».
Pour les Européens, la renégociation de cet Accord de Cotonou offre l’opportunité de rationaliser les relations entre les pays ACP et l’Union, en tenant compte des Objectifs de développement durable des Nations unies, des nouvelles stratégies européennes dans les régions concernées, des nouvelles ambitions des pays ACP et de l’évolution de l’équilibre des pouvoirs au niveau mondial.
Un équilibre des pouvoirs dont la balance penche inexorablement en faveur d’un regain d’intensité des relations entre la Chine et l’Afrique que vient de confirmer le forum annuel de l’Institut chinois des relations internationales contemporaines auquel ont pris part plus de 40 experts et responsables de la Chine et de douze pays africains, ainsi que des représentants d’organisations internationales telles que les Nations unies, l’UA et le Comité international de la Croix-rouge.
Basés sur le thème "La Chine et l’Afrique construisent conjointement une communauté de destin", les travaux du forum se sont « concentrés sur la communication et la coopération dans les domaines tels que l’économie, la sécurité, la gouvernance de l’Etat et le développement et l’avenir des relations sino-africaines », selon un document rendu public par l’Agence de presse chinoise, Xinhua.
Selon les données du Département des affaires africaines du ministère chinois des Affaires étrangères, le commerce entre la Chine et l’Afrique est passé de 765 millions de dollars en 1978 à 170 milliards de dollars en 2017, permettant ainsi à Pékin de maintenir intacte, depuis huit années consécutives, sa position de premier partenaire commercial de l’Afrique.
La coopération en matière de sécurité a été également un sujet important du forum au cours duquel le directeur du Centre africain d’études et de recherches sur le terrorisme de l’Union africaine (UA), basé à Alger, M. Larry Gbevlo-Lartey, a appelé à des efforts conjoints pour promouvoir une sécurité commune, globale, coopérative et durable, en offrant à l’Afrique l’opportunité d’apprendre des expériences de la Chine en matière de gouvernance au niveau de base, par le renforcement des compétences des autorités locales.
En effet, l’agence Xinhua rappelle que parmi les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, la Chine est le plus grand contributeur en termes de forces de maintien de la paix en Afrique, avec un contingent de plus de 2.000 hommes effectuant des missions sur le continent.
Pour l’ancien ministre des Affaires étrangères de l’Ethiopie, Seyoum Mesfin, le forum dont les propositions seront présentées au prochain sommet sur la coopération sino-africaine, prévu en septembre 2018 en Chine, entend nouer entre la Chine et l’Afrique un partenariat qui se veut une conjugaison du rêve chinois de « Grand Renouveau national » avec « l’Agenda 2063 » de l’Afrique pour la paix et la prospérité.
(Source Panapress)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)