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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Crise sanitaire en Afrique de l’Ouest
5 septembre 2014
La rentrée des classes, prévue le 3 octobre prochain sur toute l’étendue du territoire national guinéen, est reportée à une date ultérieure ’à cause de l’épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola’, présente depuis janvier dans le pays où, selon les dernières statistiques officielles, elle a fait 489 morts sur 740 cas, dont 543 confirmés.
S’exprimant au nom de ses collègues de l’Enseignement primaire et de celui de la Formation professionnelle, Téliwell Diallo, ministre d’Etat de l’Enseignement supérieur, a indiqué que les responsables de l’école guinéenne travaillent d’arrache-pied en vue de mettre en place « toutes les conditions idéales d’accueil des élèves » à leurs lieux d’apprentissage à la prochaine ouverture.
Les responsables de l’école multiplient les annonces sur les nouvelles mesures qui seront mises en place, notamment l’acheminement des matériels de lavage des mains à l’eau de javel et au chlore avant l’entrée dans les salles de classe. La même source souligne que ces mesures seront appliquées également à tous les visiteurs.
Selon les responsables du ministère de la Santé, huit des 33 préfectures du pays sont désormais touchées par la fièvre Ebola. Seule la localité de Télimélé, souligne-t-on, touchée par des cas qui ont fait des victimes, a pu barrer la route à l’épidémie grâce à "une formidable campagne de sensibilisation".
Les quatre régions naturelles du pays, notamment la Guinée forestière (Sud), la Haute Guinée (Est), la Guinée Maritime (Ouest) et la Moyenne Guinée (Nord) sont désormais touchées par la maladie.
De son côté, le chef de l’Etat, Alpha Condé, reçoit régulièrement des hôtes, notamment les syndicalistes, les acteurs de la société civile et les opérateurs économiques pour leur demander de s’impliquer davantage dans la lutte contre la maladie, sans attendre les promesses de fonds faites par la Banque mondiale (200 millions de dollars américains) et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour 100 millions de dollars.
Le président Condé a suggéré aux membres de la société civile de mettre à la tête de chacune de leurs commissions un natif de la localité à visiter, ce qui, selon lui, pourrait rassurer les populations.
Des jeunes de plusieurs localités de la région forestière (Sud), considérée comme l’épicentre de la fièvre Ebola, munis de gourdins, continuent de défier les responsables locaux et les agents de la santé, arguant que « la fièvre Ebola est une pure invention ».
Au cours de toutes ces audiences, le Président Condé a dit à ses interlocuteurs que « la psychose de la fièvre Ebola » a fait partir plusieurs investisseurs, soulignant que tous les hôtels de Conakry sont quasi vides actuellement.
La fièvre hémorragique à virus Ébola, de la famille des Filoviridae souligne-t-on, est une maladie hémorragique qui provoque la mort chez 50 à 90% des malades présentant des manifestations cliniques.
Le virus Ebola se transmet par contact direct avec le sang, les sécrétions, les organes ou des liquides biologiques des sujets infectés.
On rappelle que la fièvre hémorragique Ebola se caractérise souvent par une brusque montée de température, avec une faiblesse intense, des myalgies, des céphalées et des maux de gorge. Cette fièvre est souvent suivie de vomissements, de diarrhée, d’éruptions cutanées, d’insuffisance rénale et hépatique et d’hémorragies internes et externes.
Les analyses de laboratoire, précise-t-on, révèlent une baisse de la numération des leucocytes et des plaquettes, ainsi qu’une élévation des enzymes hépatiques. Il n’existe aucun traitement ni vaccin spécifique contre la fièvre hémorragique à virus Ébola. Plusieurs vaccins candidats sont cependant en cours d’essai.
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