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Communiqué de l’ONU
16 juin, par
Les frappes israéliennes contre des installations nucléaires et militaires iraniennes marquent une nouvelle escalade dangereuse au Moyen-Orient, a déclaré un haut responsable de l’ONU au Conseil de sécurité lors d’une session d’urgence convoquée vendredi.
Le Conseil a modifié son programme de vendredi pour faire le point sur cette crise.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, des frappes militaires israéliennes ont ciblé des installations nucléaires en Iran, notamment le site d’enrichissement de Natanz. Selon les médias, Hossein Salami, chef des Gardiens de la révolution islamique, ainsi que plusieurs éminents scientifiques nucléaires, figurent parmi les victimes.
Les frappes ont également causé d’importants dégâts et fait des dizaines de victimes civiles. L’espace aérien de la région a été en grande partie fermé et les forces de sécurité sont en état d’alerte maximale.
Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a rapidement réagi en exhortant Israël et l’Iran à « faire preuve de la plus grande retenue ».
De nouvelles frappes israéliennes ont été signalées vendredi soir, heure locale, ainsi que des tirs de missiles balistiques par l’Iran, qui auraient touché des zones d’Israël, dont Tel-Aviv.
Éviter la conflagration à tout prix
Rosemary DiCarlo, Secrétaire générale adjointe aux affaires politiques de l’ONU, a déclaré aux membres du Conseil que les répercussions de ces attaques se faisaient déjà sentir.
« Je réaffirme la condamnation par le Secrétaire général de toute escalade militaire au Moyen-Orient », a-t-elle dit, exhortant Israël et l’Iran à faire preuve de la plus grande retenue et à « éviter à tout prix une dérive vers un conflit régional plus profond et plus vaste ».
Elle a également souligné que l’escalade militaire est survenue au moment même où se déroulaient des « développements diplomatiques importants », notamment la reprise prévue des négociations américano-iraniennes à Oman ce week-end. Les dernières informations indiquent que l’Iran ne participera plus à ces négociations.
Mme DiCarlo a exhorté les parties à maintenir le cap diplomatique. « Une résolution pacifique par la négociation reste le meilleur moyen de garantir le caractère pacifique du programme nucléaire iranien », a-t-elle dit. « Nous devons à tout prix éviter une conflagration croissante qui aurait d’énormes conséquences mondiales ».
L’AIEA appelle à la protection des sites nucléaires
Rafael Grossi, directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), a également informé le Conseil que son agence était en contact permanent avec l’Autorité iranienne de réglementation nucléaire afin d’évaluer l’état des installations concernées et de déterminer les impacts plus larges sur la sûreté et la sécurité nucléaires.
Il a souligné que les sites nucléaires ne doivent jamais être pris pour cible, quelles que soient les circonstances.
« De telles attaques ont de graves conséquences pour la sécurité nucléaire, la sûreté et les garanties nucléaires, ainsi que pour la paix et la sécurité régionales et internationales », a déclaré M. Grossi.
Il est prêt à se rendre dans la région dès que possible, a-t-il ajouté, pour évaluer la situation et soutenir les efforts de sûreté, de sécurité et de non-prolifération en Iran.
« Il est clair que la seule voie durable pour l’Iran, pour Israël, pour l’ensemble de la région et pour la communauté internationale est celle fondée sur le dialogue et la diplomatie afin de garantir la paix, la stabilité et la coopération ».
M. Grossi a conclu en présentant l’AIEA comme une plateforme neutre où « les faits l’emportent sur la rhétorique » et où l’engagement technique remplace l’escalade.
« Je réaffirme ma volonté personnelle et celle de l’Agence de faciliter le dialogue et de soutenir les efforts visant à promouvoir la transparence, la sécurité et la résolution pacifique des questions nucléaires en Iran ».
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