
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
États-Unis.
Explosion en vol de la plus ancienne navette spatiale américaine
3 février 2003
Les drapeaux sont en berne partout aux États-Unis après l’explosion de ’Columbia’. La navette s’est désintégrée samedi avec ses sept astronautes lors de sa rentrée dans l’atmosphère. Tous les autres vols prévus sont suspendus jusqu’à nouvel ordre.
Depuis samedi, les services de police du Texas s’efforcent de retrouver les restes de la navette "Columbia", voire les restes humains, qui se sont éparpillés sur une centaine de kilomètres, pendant que la NASA multiplie les mises en garde à la population du fait de la possible toxicité de ces débris. Et partout aux États-Unis, les drapeaux sont en berne. Les messages de condoléances affluent désormais du monde entier. Mais malgré la « terrible nouvelle », George W. Bush assure que « la conquête de l’espace continuera ».
"Columbia" s’est volatilisée samedi avec ses sept astronautes durant sa rentrée dans l’atmosphère, quelque minutes avant son atterrissage prévu dans la matinée. Elle a disparu des écrans de la NASA, alors qu’elle volait à une soixantaine de kilomètres d’altitude, à quelques centaines de kilomètres de son lieu d’atterrissage, et à plus de six fois la vitesse du son. Les astronautes, dont le premier Israélien dans l’espace, Ilan Ramon, revenaient d’une mission scientifique de 16 jours en orbite. Hormis quelques petits problèmes techniques avec certaines expériences qu’ils étaient chargés de mener, ils n’avaient fait état d’aucun problème à bord de "Columbia" jusqu’à sa disparition.
Des images du passage de la navette au dessus de Dallas, diffusées par la chaîne de télévision CNN, ont montré plusieurs traînées blanches, au moment où la navette s’est désintégrée. Des témoins ont signalé un bruit d’explosion. En attendant les résultats de l’enquête, les vols de navettes spatiales sont suspendus.
Contrairement à "Challenger", dont l’accident avait traumatisé l’Amérique, et qui avait explosé lors de son décollage, c’est lors de son retour sur Terre que "Columbia" s’est volatilisée. L’enquête s’annonce longue et difficile pour déterminer les causes de cet accident. Lors d’une conférence de presse, Ron Dittemor, le responsable du programme "Columbia", a dévoilé les résultat des premières analyses : elles révèlent, peu avant l’explosion, une hausse de la température au niveau de l’aile gauche, suivie d’une perte de pression hydraulique au niveau du train avant, puis d’une hausse générale de la température. Rien qui permette, à l’heure actuelle, d’avancer une explication... Une piste possible, cependant : lors du décollage, le 16 janvier, un débris avait heurté l’aile gauche de "Columbia", incident qui n’avait pas alors été jugé préoccupant pour la sécurité de la navette.
"Columbia" : la première navette spatiale américaine |
---|
"Columbia" avait effectué son premier vol en orbite autour de la Terre en 1981, et effectuait depuis le 16 janvier son 28ème vol. Elle avait été baptisée du nom du navire du capitaine américain Robert Gray, qui, le 11 mai 1792, avait découvert une voie navigable au Sud-Est de la Colombie-Britannique (Canada). Le navire avait également été le premier bateau américain à faire le tour du monde. La première unité de la marine américaine à réaliser le tour de la Terre portait également ce nom, comme le module de commande d’Apollo 11, la première mission sur la lune. Depuis le début du programme des navettes, quatre "sœurs" ont rejoint "Columbia" au sein de la flotte de la NASA : "Challenger" en 1982, "Discovery" (1983), "Atlantis" (1985) et "Endeavour" mise en service en 1991 pour remplacer Challenger, détruite en vol en 1986. |
Les États-Unis imposent leur agenda au monde |
---|
Après le 11 septembre 2001, l’explosion en vol de la navette "Columbia" est un nouvel événement tragique vient frapper les États-Unis. Et à cette occasion, cette catastrophe a monopolisé les "unes" des médias alors qu’au même moment, des faits beaucoup plus grave se déroulent dans le monde. Ce type de situation est analysé par Joelle Palmieri. Dans un article paru sur le site "Pénélope", elle estime qu’une conséquence de la volonté hégémonique du gouvernement américain est d’obliger les opinions publiques des autres pays à débattre en fonction des événements qui se déroulent aux États-Unis. Une situation que Joelle Palmieri a constatée lors du Forum social mondial. « Élimination des armes de destruction massive. C’est bien ce que sont en train de réussir les États-Unis d’Amérique. Et pas besoin d’aller bombarder l’Irak pour ça. L’opération a déjà commencé et est en train d’aboutir en Europe, en premier lieu, et puis à Porto Alegre, qui réunit des mouvements du monde entier. Mais de quelles armes parle-t-elle ? La libre expression, l’autodétermination des peuples, l’autonomie, sont bel et bien des armes de destruction massive du point de vue du pays le plus riche du monde. Ce que les États-Unis ont réussi c’est tout simplement nous aligner sur leur agenda et asseoir leur hégémonie. Ce sont désormais eux qui décident de l’actualité, des sujets qui font discussion, des efforts économiques à déployer, des peuples à menacer et/ou à protéger… Qu’on le veuille ou non, pendant que les États, les mouvements, les gens se soucient de la guerre à venir, et ce depuis six mois ou plus, ils ne font rien d’autre. En particulier, l’Europe en voie d’élargissement, et donc d’enrichissement, place ses efforts diplomatiques et les autres (économiques, politiques, sociaux…) dans la question de l’évacuation du tyran Hussein. Cynisme ? Peut-être, mais il est quand-même frappant d’entendre Colin Powell parler de Conseil de sécurité des États-Unis pour invoquer celui des Nations-Unies. Un lapsus ? Pas sûr. Une affirmation. Il n’y a pas si longtemps, pendant le Sommet de la Terre, fin août à Johannesburg en Afrique du Sud, la démarche était flagrante. Les États-Unis passaient outre les recommandations de l’ONU pour imposer leurs propres impératifs économiques, au point que beaucoup d’ONG s’engageaient à soutenir l’institution internationale, créée au lendemain de la Seconde guerre mondiale. Et puis, ce Forum social mondial dédié à cette question de la guerre, avec une mobilisation sans relâche pour empêcher les Turcs d’accueillir les bases militaires américaines, les Israéliens d’en profiter pour gagner du terrain, les autres d’entamer leurs dépenses militaires au détriment de celles de santé, d’éducation, de nutrition… Mobilisation fort honorable, juste et indispensable. Et pourtant une question me mord le bout de la langue ? Cette situation est-elle nouvelle ? Ces actions ne participent-elles pas de la lutte globale contre le libéralisme ? Alors, pourquoi maintenant ? Pourquoi pas l’année dernière ? et la précédente ? Je me souviens d’un entretien avec Michel Warshavsky, lors de la 2ème édition du Forum social mondial, qui ne comprenait pas, lui qui luttait depuis des années pour une paix négociée au Proche-Orient, pourquoi les questions de la guerre, et de la paix, n’étaient pas abordées. Décontenancé qu’il était. Pantois même. Et ce n’était pas le seul…Alors ? Paranoïa ou réalisme ? Dépit ou lucidité ? Ne serions-nous pas pris au piège, arrêté-es dans nos constructions d’alternatives ? Réduit-es à la défensive ? Je vous laisse juges ». |
Mézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Le troisième Plan national d’adaptation au changement climatique « n’a toujours pas de cadre contraignant et ne prend toujours pas en compte les (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Dann in famiye néna touzour inn pou fèr lo gran. Li yèm okipe d’ shoz lé pa d’son az. Sé pou sa i di, li fé l’onm d’afèr. Mi rapèl in zour mwin (…)
La CGT exige un référendum pour "sortir par le haut" et "rassembler le pays" après l’échec du "conclave" pour "que les Françaises et les Français (…)
Le Syndicat des énergies renouvelables a appelé les députés à rejeter la proposition de loi sur la programmation énergétique.
Le conclave des retraites initié par le premier ministre, François Bayrou, pour éviter la censure de son gouvernement, devait s’achever le 17 juin (…)
Au séminaire du 17 mai 2025, consacré au centenaire de la naissance de Paul Vergès, le PCR avait organisé 3 débats : ne soyons pas esclave de (…)
Face à l’urgence climatique et sociale, seize associations citoyennes et environnementales de La Réunion unissent leurs voix pour interpeller les (…)
Près de 12 millions de réfugiés ont trouvé protection dans les 46 États membres du Conseil de l’Europe.
Dans le cadre d’un partenariat avec l’Union européenne, le Département organise, le samedi 21 juin au Village Corail (L’Ermitage-les-Bains), un (…)