
« I vo myé fèr anvi k’pityé. »
18 mars, parMézami, si mi di azot mi yèm kozman-la-i vo myé fèr anvi k’pityé- zot va pétète trouv sa étonan pars in moune i fé anvi sé par son fizik, par son (…)
Près des deux tiers de la population ont besoin d’une aide d’urgence
18 février
Alors que la guerre civile s’intensifie au Soudan, seule nation au monde officiellement frappée par la famine, l’ONU et ses partenaires ont appelé, lundi à Genève, la communauté internationale à fournir six milliards de dollars pour subvenir aux besoins de 26 millions de Soudanais au sein et à l’extérieur du pays.
Cet appel de fonds intervient après bientôt deux ans d’un conflit dévastateur entre les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) et l’armée du général Abdel Fattah al-Burhane, au pouvoir de facto depuis le putsch qui a secoué ce pays du nord-est de l’Afrique en octobre 2021.
Alors que les bombardements et frappes aériennes continuent de faire des victimes parmi la population, détruisant au passage les hôpitaux, les marchés et autres infrastructures civiles, 12 millions de personnes fui les combats à l’intérieur du Soudan et dans les États voisins.
Au total, près des deux tiers de la population ont besoin d’une aide d’urgence.
Pour leur venir en aide, les Nations Unies et leur partenaires demandent 4,2 milliards de dollars afin de financer la réponse humanitaire à l’intérieur du pays.
« Le plan de réponse humanitaire que nous proposons permettra de sauver des millions de vies », a déclaré à cette occasion le chef de l’humanitaire de l’Organisation, Tom Fletcher, dans un communiqué de presse.
« Les fonds sollicités permettront d’apporter un soutien aux populations par tous les moyens possibles, par les airs, la mer ou la route, » a-t-il précisé.
L’urgence est d’autant plus forte que des cas de famine ont été signalés dans au moins cinq régions du Soudan, notamment au sein des camps de déplacés du Darfour et dans l’ouest des monts Nouba.
Selon les projections, la famine devrait s’aggraver et se répandre d’ici le mois de mai, lorsque la période de soudure commencera, les services de base ayant été interrompus dans la majeure partie du pays.
« Le Soudan est le théâtre d’une urgence humanitaire d’une ampleur effroyable », a estimé M. Fletcher.
En plus de la famine, le chef de l’humanitaire a indiqué que les populations sont soumises à des niveau de souffrance « effroyables », alors que les violences sexuelles et les décès d’enfants liés aux combats se multiplient.
Concrètement, le Plan de réponse aux besoins humanitaires au Soudan vise à fournir une aide vitale à près de 21 millions de personnes vulnérables.
Il s’agit du nombre le plus élevé de personnes concernées par un plan humanitaire coordonné par l’ONU cette année.
Alors qu’un tiers de la population du Soudan est déracinée, les conséquences de ce conflit s’étendent au-delà̀ des frontières du Soudan, que des milliers de personnes, la plupart d’entre elle souffrant de malnutrition, continuent de fuir chaque jour.
À ce jour, près de 3,5 millions de personnes ont cherché refuge dans les pays voisins, ce qui met à rude épreuve leurs services et ressources déjà limités.
Les fonds demandés prévoient également 1,8 milliard de dollars pour financer le Plan régional d’intervention en faveur des réfugiés.
Ce dernier vise à aider 4,8 millions réfugiés et membres des communautés d’accueil en République centrafricaine, au Tchad, en Égypte, en Éthiopie, en Libye, au Soudan du Sud et en Ouganda.
Le plan permettra également de renforcer les services publics nationaux des pays concernés et d’y mettre en œuvre des programmes de stabilisation.
« Les pays voisins font preuve d’une grande solidarité en accueillant les réfugiés, même si leur nombre augmente chaque jour », a déclaré dans un communiqué le plus haut responsable de l’ONU pour les réfugiés, Filippo Grandi.
« Mais les biens et services essentiels tels que l’eau, les abris ou les soins de santé se font rares », a-t-il ajouté.
Sans financement immédiat, les deux tiers des enfants réfugiés ne pourront pas accéder à̀ l’enseignement primaire, ce qui mettrait en péril une génération toute entière.
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