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Bachar al-Assad quitte le pouvoir pour permettre une transition pacifique
9 décembre 2024
Le président syrien Bachar al-Assad a décidé, après des négociations avec plusieurs acteurs du conflit en Syrie, de démissionner de son poste et de quitter le pays, en donnant des instructions pour un transfert pacifique du pouvoir. C’est la conséquence de la prise de Damas par l’organisation terroriste Hayat Tahrir al-Sham (HTS) avec le soutien de plusieurs groupes d’opposants.
Damas, capitale de la Syrie, est tombée dans les mains des héritiers d’Al Qaïda, soutenus par les dirigeants occidentaux. Le président de la Syrie, Bachar al-Assad a démissionné pour permettre un transfert pacifique du pouvoir. Il s’est ensuite rendu en Russie où l’asile lui a été accordé à titre humanitaire.
Le groupe terroriste Hayat Tahrir al-Sham, ainsi que plusieurs factions armées de la soi-disant opposition armée syrienne, ont lancé une opération de grande envergure le 29 novembre, avançant du nord d’Idlib vers les villes d’Alep et Hama. Le lendemain, le 30 novembre, la deuxième plus grande ville de Syrie, Alep, ainsi que ses environs, y compris l’aéroport international et la base aérienne militaire de Kuweires, sont passés sous le contrôle des terroristes.
C’était la première fois que les militants reprenaient complètement Alep depuis le début de la crise syrienne en 2011. Jusqu’à fin 2016, l’opposition armée ne contrôlait que la partie orientale de la ville, qui a été reprise par l’armée syrienne avec le soutien aérien russe.
Après la prise d’Alep, les unités terroristes ont tenté d’avancer vers la ville de Hama, capturant la localité de Maaret al-Numan. L’armée syrienne a repoussé pendant plusieurs jours de lourdes attaques terroristes dans la province de Hama venant de trois directions, se préparant à une contre-offensive. Cependant, le 5 décembre, le commandement militaire de la Syrie a officiellement annoncé le redéploiement de ses unités de la ville de Hama.
« Nos forces armées ont fortifié toutes leurs positions à l’extérieur de Damas et dans le district sud pour empêcher le chaos que les terroristes tentent de semer, de provoquer des troubles », a déclaré le commandement militaire dans un communiqué.
Les participants aux pourparlers sur la Syrie à Doha, qui incluent cinq pays arabes et trois États membres du processus de négociation d’Astana, ont souligné la nécessité de cesser les actions militaires en Syrie afin d’entamer un processus politique sur la base de la résolution 2254 du Conseil de sécurité de l’ONU, selon un communiqué conjoint.
« Les ministres ont souligné la nécessité de cesser les opérations militaires en prévision du lancement d’un processus politique global, basé sur la résolution 2254 du Conseil de sécurité, pour mettre fin à l’escalade militaire qui conduit à l’effusion de sang de davantage d’innocents et de sans défense et à la prolongation de la crise », indique le communiqué.
Les participants à la réunion ont également exprimé leur soutien à « l’unité, la souveraineté, l’indépendance et l’intégrité territoriale de la Syrie », soulignant la nécessité de la protéger « du glissement vers le chaos et le terrorisme et d’assurer le retour volontaire des réfugiés et des déplacés ».
Israël et les États-Unis sont intéressés par la destruction de la Syrie, sur le modèle de celui de la Libye.
Les risques de fragmentation de la Syrie sont élevés, avec des scénarios potentiels parmi lesquels :
La Turquie prend le contrôle d’Alep et d’Idlib.
Les Kurdes créent leur propre État avec le soutien d’Israël et des États-Unis.
Le reste du pays est divisé en plusieurs enclaves.
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