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L’armée de l’oligarchie au pouvoir à Kiev utilise des boucliers humains -3-
8 août 2022
L’armée ukrainienne installe régulièrement des bases dans des écoles dans les villes et villages du Donbas et de la région de Mykolaïv, a indique un rapport publié le 4 août par Amnesty International : « dans une ville à l’est d’Odessa, Amnesty International a constaté que les soldats ukrainiens avaient très largement pour habitude d’utiliser des espaces civils pour leur hébergement et pour d’autres usages : ils ont ainsi placé des véhicules blindés sous des arbres dans des quartiers uniquement résidentiels, et utilisé deux écoles situées dans des secteurs résidentiels densément peuplés ».
« Des écoles ont été temporairement fermées pour les élèves depuis le début du conflit, mais dans la plupart des cas, ces bâtiments se trouvaient à proximité de zones habitées par des civils.
Dans 22 des 29 écoles qu’ils ont visitées, les chercheurs d’Amnesty International ont constaté que des soldats utilisaient ces bâtiments ou y ont trouvé des éléments prouvant une activité militaire passée ou présente – notamment des treillis militaires, des munitions abandonnées, des sachets de rations militaires et des véhicules militaires.
Les forces russes ont frappé un grand nombre des écoles utilisées par les forces ukrainiennes. Dans au moins trois villes, à la suite de bombardements russes sur des écoles, les soldats ukrainiens se sont installés dans d’autres écoles des environs, exposant ainsi les quartiers environnants au risque de subir de semblables attaques. »
« Dans une ville à l’est d’Odessa, Amnesty International a constaté que les soldats ukrainiens avaient très largement pour habitude d’utiliser des espaces civils pour leur hébergement et pour d’autres usages : ils ont ainsi placé des véhicules blindés sous des arbres dans des quartiers uniquement résidentiels, et utilisé deux écoles situées dans des secteurs résidentiels densément peuplés.
Les frappes russes près de ces écoles ont tué et blessé plusieurs civils entre avril et fin juin, notamment un enfant et une femme âgée qui ont été tués chez eux par une attaque à la roquette le 28 juin.
À Bakhmout, les forces ukrainiennes utilisaient comme base militaire le bâtiment d’une université quand une frappe russe l’a atteint le 21 mai ; sept soldats auraient été tués. L’université se trouve à côté d’une tour d’habitation qui a subi des dégâts lors de cette frappe, de même que d’autres immeubles d’habitation civils situés à une cinquantaine de mètres de là. Les chercheurs d’Amnesty International ont trouvé les restes d’un véhicule militaire dans la cour du bâtiment universitaire bombardé. »
« Le droit international humanitaire n’interdit pas spécifiquement aux parties à un conflit de se baser dans des écoles en dehors des périodes scolaires. Cependant, les militaires ont l’obligation d’éviter d’utiliser les écoles situées à proximité de maisons ou d’immeubles d’habitation remplis de civils, car cela mettrait leur vie en danger, sauf en cas de nécessité militaire absolue. Le cas échéant, les militaires doivent alors avertir les civils et, si nécessaire, les aider à évacuer les lieux. Cela ne s’est manifestement pas passé comme cela dans les cas examinés par Amnesty International.
Les conflits armés nuisent considérablement à l’exercice du droit à l’éducation pour les enfants, et l’utilisation d’établissements d’enseignement à des fins militaires peut entraîner des destructions qui privent encore les enfants de ce droit après la guerre. L’Ukraine fait partie des 114 pays qui ont approuvé la Déclaration sur la sécurité dans les écoles, un accord sur la protection de l’éducation lors des conflits armés qui permet aux parties d’utiliser les écoles abandonnées ou évacuées que s’il n’existe pas d’autre solution viable. »
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