
Turbulence à la Mairie de Saint-André
5 juillet, parAprès les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
Signature d’un accord économique entre l’Ukraine et la Russie
24 décembre 2013
Après les accords de Moscou passé entre le président russe Vladimir Poutine et son homologue ukrainien, les manifestations pro-européennes s’essoufflent, en dépit de la volonté de l’opposition de maintenir le rapport de force.
Dimanche 22 décembre à Kiev, la mobilisation pro-européenne a beaucoup moins rassemblé que les fois précédentes. Près de 40.000 personnes se sont réunies à l’appel de l’opposition sur Maïdan, place de l’Indépendance dans le centre de la ville. Un faible rassemblement, comparé aux centaines de milliers de personnes présentes les trois dimanche précédents.
L’opposition a demandé aux manifestants de continuer « de défier le régime dans la rue ». « Nous allons continuer de nous battre, nous n’abandonnerons pas Maïdan », place occupée depuis plus d’un mois par des manifestants qui l’ont entourée de barricades, a déclaré devant les manifestants le boxeur Vitali Klitschko, l’un des leaders de l’opposition. Ajoutant « nous allons fêter sur Maïdan le Nouvel An et Noël » (orthodoxe le 7 janvier, ndlr), Vitali Klitschko a rappelé que l’objectif du mouvement de contestation était l’organisation d’une présidentielle anticipée, à laquelle il souhaite être candidat, a expliqué l’Agence France Presse.
Le "Mouvement populaire Maïdan" a été créé par les leaders de l’opposition, souhaitant réunir tous ceux qui sont « contre la corruption » et « le retour au passé » au sein des structures menées par Moscou. Cependant, pour des manifestants interrogés par l’AFP, « Maïdan est dans l’impasse. Les manifestants ont fait tout ce qu’ils pouvaient. Maintenant c’est l’opposition (ses leaders, ndlr) qui doit travailler en coulisse pour affaiblir le pouvoir », a indiqué Ostap Nikitine, étudiant à Kiev.
Désormais l’essoufflement de la mobilisation et l’accord signé avec Moscou ont renforcé le gouvernement de Viktor Ianoukovitch a expliqué Volodymyr Fessenko, analyste politique indépendant. En effet, avec les accords de Moscou, « les tentatives de (...) signer un accord d’association avec l’UE ne sont plus d’actualité. La révolte des oligarques est étouffée par le gaz bon marché », a souligné l’ex-ministre de l’Intérieur et opposant Iouri Loutsenko. Ces accords n’ont pu être rivalisé avec ceux préparés depuis trois ans avec Bruxelles.
Mardi 17 décembre, Vladimir Poutine a apporté son soutien au président ukrainien, Viktor Ianoukovitch, en réduisant entre autre d’un tiers les tarifs de livraison de gaz russe. Facturé près de 400 dollars les 1.000 mètres cubes, le gaz russe devrait passer à 268,5 dollars à compter du mois de janvier 2014, a annoncé Vladimir Poutine. De plus, la Russie va acquérir pour 15 milliards de dollars (13,3 milliards d’euros) d’obligations émises par Kiev.
En dépit des semaines de mobilisation et de l’appel au calme du gouvernement ukrainien, qui laissait entendre un possible rapprochement avec Bruxelles, Viktor Ianoukovitch aura choisit son voisin russe. Une décision analysée par Edouard Birov, dans le quotidien russe "Vzgliad", cité par Courrier International : « il faut reconnaître la nouvelle et très habile victoire de Vladimir Poutine et de la diplomatie russe dans le combat contre l’Occident ».
Au delà des aspects industriels et économiques, Edouard Birov parle d’un rapprochement politique avéré à travers un bloc, défendu par Vladimir Poutine : « Il a été convenu une coordination plus étroite des politiques étrangères, essentiellement en ce qui concerne la stabilité stratégique et la sécurité en Europe, ainsi qu’une lutte contre les nouveaux défis mondiaux, dont le trafic de drogues ». Le journaliste russe conclut en expliquant que le rattachement de l’Ukraine à la Russie « sera un événement historique annonçant la restauration de l’empire Russe sous une forme moderne ».
Après les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
Le CIOM « national » aura bien lieu le 10 juillet au Ministère des Outre-mer, en présence du Premier ministre, François Bayrou et du ministre de (…)
Kan i ariv Novanm-Désanm-Zanvié, domoun i réziste pi ek la salèr. Zène-zan i mars dann somin, zène-fi i roul an dékolté ; sétaki i rod in manir po (…)
En avril 2025, la ministre malgache des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika a déclaré que "la position de Madagascar concernant la (…)
L’ancien chef de la diplomatie européenne a déclara qu’« en un mois, 550 Palestiniens affamés ont été tués par des mercenaires américains ». Une (…)
Après l’opération militaire d’Israël « Rising Lion » (« Lion dressé ») contre l’Iran dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin 2025, et celle (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)