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Après 5 mois de combats
6 septembre 2014, par
Une réunion a eu lieu, vendredi 5 septembre à Minsk en Biélorussie, pour trouver un cessez-le-feu en Ukraine, entre les rebelles pro-russes et le gouvernement ukrainien. Le climat reste tendu avec la Russie, qui est désormais un adversaire pour l’OTAN.
La veille cette réunion, le président ukrainien Petro Porochenko s’était dit « prudemment optimiste » sur la conclusion d’un accord de cessez-le-feu dans l’est du pays. Ce dernier avait annoncé dans la journée qu’un plan pour un cessez-le-feu pourrait être signé.
Vendredi 5 septembre, les séparatistes pro-russes ont annoncé avoir signé un accord de cessez-le-feu avec l’Ukraine, dans le cadre du « groupe de contact » réunissant la Russie, l’Ukraine, les séparatistes dont la République autoproclamée de Lougansk (LNR) et la République populaire autoproclamée de Donetsk (DNR), et l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe).
Cette annonce a été faite sur les réseaux sociaux par DNR : « Les représentants de l’Ukraine, de la DNR et de la LNR ont signé un protocole d’accord à Minsk sur un cessez-le-feu à partir de 18 heures vendredi ». De son côté, Petro Porochenko a ordonné à son armée de cesser les hostilités après la signature de ce « protocole préliminaire ».
Après cinq mois de combats meurtriers dans l’est de l’Ukraine, cet accord est « une avancée majeure dans la résolution de la crise », d’après l’Agence France Presse. Cependant, les détails d’un projet sur les relations entre Kiev et les régions de l’est, ce qui devrait être plus compliqué, en raison des tensions bilatérales.
Pour le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk « le plan de paix futur doit prévoir le retrait des troupes russes de son territoire », appelant les Occidentaux à se porter « garants d’un tel accord ». Ce dernier a indiqué devant la presse qu’il « faut rétablir la paix mais pas sur la base d’un plan proposé par le président russe, mais sur la base de celui proposé par le président ukrainien, qui doit être soutenu par les Etats-Unis et l’Union européenne ».
Fervent détracteur de la Russie, le Premier ministre a assuré que « nous ne pourrons seuls réussir face à la Russie », assurant ce plan de paix doit prévoir « un cessez-le feu, le retrait des troupes russes et le rétablissement du contrôle de la frontière ».
De leurs côtés, les rebelles prorusses ont réaffirmé leur intention de se séparer de l’Ukraine, assurant : « nous sommes prêts à un cesser-le-feu à partir de 18 heures (heure de Kiev, 15 heures GMT) des deux côtés, mais cela ne veut pas dire que nous avons renoncé à nous séparer de l’Ukraine ». Cette déclaration dénote avec les conditions évoqués par la partie ukrainienne que sont le contrôle de la frontière russo-ukrainienne par l’OSCE, le retrait de toutes les troupes russes et la libération de soldats retenus par les rebelles ou la Russie.
Celles-ci sont contraires au plan évoqué par Vladimir Poutine mercredi 3 septembre, qui demandé le retrait des forces gouvernementales des régions industrielles de Donetsk et Lougansk. Face à cela, les Occidentaux pensent que le président russe est « furieux » de l’accord d’association économique entre l’Ukraine et l’Union européenne signé en juin, selon les agences de presse. D’après ces dernières, Vladimir Poutine souhaiterait que les régions Donetsk et Lougansk restent attachées aux échanges commerciaux avec la Russie.
Toutefois, un conflit économique avec la Russie pourrait entraîner d’importantes pertes pour certains pays européens, dont l’Allemagne, principal partenaire économique et commercial de la Russie. C’est pourquoi le ministre britannique des Affaires étrangères, Philip Hammond, a indiqué que les nouvelles sanctions prévues pourraient être levées en cas de cessez-le-feu.
Sur le terrain, le cessez-le-feu n’a pas encore été mit en place, des insurgés tentent toujours d’avancer vers le port stratégique de Marioupol, dernière grande ville dans l’Est sous contrôle des forces ukrainiennes. Reprendre ce port sur la mer d’Azov permettrait aux pro-russes de se rendre en Crimée. A Donetsk, de nombreuses explosions ont été entendues dans la nuit de jeudi, marquant une augmentation des bombardements après plusieurs jours d’accalmie.
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