
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Arseni Iatseniouk nommé Premier ministre
28 février 2014, par
Mercredi 26 février, sur la place de l’Indépendance, Maïdan, à Kiev, un nouveau gouvernement a été « proposé » à la foule avant son officialisation, validée par le Parlement. Chaque ministre a été présenté par un responsable qui, à chaque fois demandait à la foule « Etes-vous d’accord ? » après l’annonce de la nomination, a rapporté Le Monde.
Ancien ministre ukrainien de l’Economie et des Affaires étrangères, et pro-européen, Arseni Iatseniouk est devenu le nouveau Premier ministre. Agé de 39 ans, il est membre du parti de la Révolution orange d’Ioulia Timochenko, l’opposante récemment libérée.
La présidence de l’Etat sera assurée temporairement par le nouveau président du parlement, Oleksander Tourtchinov, proche de Ioulia Timochenko. En attendant, le nouveau gouvernement proposé regroupe les leaders politiques de la contestation ukrainienne, de la société civile et des groupes radicaux, parmi lesquels, Dmytro Boulatov, opposant torturé pendant la contestation.
Le député Andriï Paroubiï, appelé le « commandant de Maïdan », qui devrait prendre la tête du Conseil national de sécurité et défense, et la journaliste Tetiana Tchornovol, victime d’une agression en décembre peut être liée à ses articles, selon l’opposition, devrait diriger un comité anticorruption.
Le Parlement s’est prononcé hier (résultat non communiqué à l’heure où nous mettons sous presse) pour valider ces nominations et permettre au nouveau gouvernement de diriger le pays encore divisé. Des heurts ont eu lieu, mercredi, en Crimée, région à dominante russophone, où des tendances séparatistes sont de plus en plus vives.
Plus de 5.000 personnes se sont réunies mercredi devant le parlement de Crimée à Simféropol, a constaté un journaliste de l’AFP, avec d’un côté, des manifestants pro-russes, voulant un référendum sur le statut de la Crimée, et de l’autre, des Tatars, une communauté musulmane déportée par Staline, décidés au contraire à défendre l’unité de l’Ukraine.
Silencieuse sur les récents évènements, la Russie a tout de même fait monter la pression diplomatique en annonçant la tenue de manœuvres militaires près de sa frontière avec l’Ukraine. De plus, les autorités ont décidé de renforcer la protection de sa flotte de la mer Noire, basée en Crimée, et ordonné une inspection surprise des troupes des districts militaires de l’Ouest, non loin de l’Ukraine, et du Centre, pour vérifier leur aptitude au combat.
Alors que Vladimir Poutine ne s’est toujours pas exprimé, après une réunion du conseil de sécurité sur l’Ukraine, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergeï Lavrov, doit rencontrer le 6 mars, la chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton. Pour les pro-européens, la politique russe inquiète. Trois anciens présidents ukrainiens ont accusé Moscou d’"intervenir directement dans la vie politique de la Crimée ».
Viktor Iouchtchenko, Leonid Koutchma et Leonid Kravtchouk ont demandé, dans une lettre commune, à Moscou doit « faire preuve de respect pour les choix du peuple et du gouvernement ukrainien ».
Du côté de la diplomatie américaine, William Burns, a proposé d’aider les nouvelles autorités ukrainiennes, sans froisser Moscou, selon l’AFP, en raison de « l’urgence et l’importance des efforts de la Rada (parlement) pour former un gouvernement multi-partite, technique, représentant toutes les régions d’Ukraine ».
Les ministres de la Défense de l’OTAN, réunis à Bruxelles, ont souhaité une Ukraine « souveraine, indépendante et stable » et « fermement engagée en faveur de la démocratie » constitue un « élément clé » de la sécurité dans la zone euro-atlantique.
Céline Tabou
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