
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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Conclusion du sommet de l’OTAN
8 septembre 2014, par
Les pays membres de l’OTAN ont condamné les actes jugés « barbares » de l’Etat islamique (EI) en Irak et en Syrie et dix d’entre eux se sont associés aux Etats-Unis pour créer une alliance militaire destinée à lutter contre ce groupe djihadiste.
En marge du sommet de l’OTAN à Newport en Grande-Bretagne, neuf pays (Grande-Bretagne, France, Allemagne, Italie, Turquie, Pologne, Danemark, Canada, Australie) ont donné leur accord pour joindre leurs efforts à ceux des États-Unis, afin de former une coalition.
Dimanche 7 septembre, Barack Obama a annoncé qu’il présenterait mercredi 10 son « plan d’action » pour lutter contre l’EI. Désireux de convaincre, mais surtout d’éviter de se retrouver seuls sur ce problème, le secrétaire d’Etat, John Kerry, et le secrétaire à la Défense, Chuck Hagel, ont indiqué aux ministres d’une dizaine d’Etats membres de l’Alliance atlantique qu’ils pouvaient contribuer de différentes façons à l’effort de guerre.
« Il faut les attaquer de manière à les empêcher de conquérir des territoires, il faut renforcer les forces de sécurité irakiennes et les autres forces régionales qui sont prêtes à les affronter, sans engager nos propres troupes », avait déclaré John Kerry lors de cette réunion précédent l’ouverture du sommet, vendredi 5 septembre. Ne souhaitant pas être présent sur le sol irakien, les Américains ont misé sur une coalition « plus large et plus étendue », pour « répondre à ce défi », a indiqué Chuck Hagel.
Toutefois, Français et Britanniques ont pointé du doigt les frappes aériennes américaines, qui ne peuvent pas suffire à la lutte contre l’EI, car il faudrait selon les deux dirigeants « élaborer une stratégie globale », ont révélé des sources européennes à l’Agence France Presse. Pour sa part, la France s’est dite prête à contribuer à la lutte contre l’EI, y compris militairement si nécessaire. Une présence militaire sur le sol irakien qui s’ajouterait à celle en Centrafrique, où la situation reste inquiétante.
De son côté, le secrétaire à la Défense britannique, Philip Hammond, a indiqué qu’aucune décision n’avait été prise concernant une participation aux frappes aériennes. « On réalise de plus en plus qu’il va falloir en faire plus, mais il faut être prudent et mesurer toutes les conséquences », a expliqué un des responsables britanniques.
Pour l’OTAN, les Etats membres seraient chargés d’apporter une aide sécuritaire à l’Irak, tandis que l’Alliance coordonnerait les livraisons et les parachutages en faisant en sorte que les avions nécessaires soient toujours disponibles, a indiqué à l’agence de Reuters, un responsable de l’institution. « Nous sommes convaincus que nous avons les moyens de détruire l’Etat islamique », a insisté John Kerry, sans pour autant donner de délais précis.
Le président français François Hollande a écarté toute action militaire contre l’EI en Syrie, par crainte que celle-ci puisse profiter à Bachar al Assad.
Trois ans après le début du conflit en Syrie, les Nations Unies ont estimé à près de 200.000 morts. Pout l’heure, aucune intervention n’est envisagée par les Occidentaux, contre l’actuel président de la Syrie, Bachar al Assad, qui est conforté par la montée en puissance de l’EI, affaiblissant la rébellion.
Pour François Hollande, « nous ne sommes pas dans les mêmes situations de droit international. Dans un cas, l’Irak, ce sont les autorités que nous considérons comme légitimes qui nous appellent (à l’aide). Dans l’autre, qui nous appellerait ? » s’est-il interrogé. Barack Obama a de son côté reconnu que les États-Unis n’avaient pas encore arrêté de stratégie pour la Syrie.
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