
Mal-do-mèr dann sarèt
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Conflit Israël - Hamas
17 octobre 2023
La bande de Gaza est attaquée par des frappes israéliennes, depuis l’opération d’ampleur menée par le Hamas sur Israël, le 7 octobre dernier.
L’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a alerté le 15 octobre sur une « catastrophe humanitaire inédite » en cours dans la bande de Gaza. Cette région est pilonnée sans cesse par l’armée israélienne en représailles à une attaque sanglante du Hamas sur le sol israélien.
« Pas une goutte d’eau, pas un grain de blé, pas un litre de carburant n’a été autorisé à entrer à Gaza ces huit derniers jours », a affirmé Philippe Lazzarini, le chef de l’Unrwa, lors d’une conférence de presse.
Ce dernier a estimé que « Gaza se fait étrangler ». « Une catastrophe humanitaire inédite » se déroule dans le territoire palestinien, s’est-il alarmé.
Le 16 octobre, Israël a affirmé qu’aucune trêve n’était en cours pour permettre l’entrée de l’aide humanitaire à Gaza, où se profile dans les 24 heures une "vraie catastrophe" humanitaire, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
"Il reste 24 heures d’eau, d’électricité et de carburant" à Gaza et si de l’aide n’y entre pas, les médecins n’auront plus qu’à "préparer les certificats de décès", a déclaré à l’AFP, Ahmed Al-Mandhari, directeur de l’OMS pour la Méditerranée orientale basé au Caire.
Soumise à un blocus israélien terrestre, aérien et maritime depuis plus de 15 ans, la bande de Gaza est placée en état de "siège complet" depuis le 9 octobre par Israël. Le gouvernement israélien y a coupé les approvisionnements en eau, en électricité et en nourriture.
De plus, les cadavres s’accumulent. Des résidents ont creusé à l’avance, les uns à côté des autres, des trous dans le sable, placé des briques et des dalles autour et à l’intérieur, pour recevoir des corps. Dans un trou, trois dépouilles d’enfants ont été empilées, faute de pouvoir les mettre ailleurs.
"Anéantir" le Hamas, mais à quel prix
Ripostant à l’attaque d’une ampleur sans précédent lancée le 7 octobre sur son sol par le Hamas, Israël a promis "d’anéantir" le mouvement palestinien et a déclenché une intense campagne de frappes sur le territoire.
Ces frappes de représailles ont tué au moins 2.750 personnes, en majorité des civils palestiniens, dont des centaines d’enfants, selon les autorités locales.
Plus de 1.400 personnes ont été tuées en Israël, la plupart des civils tués le jour de l’attaque du Hamas, la plus meurtrière depuis la création de l’Etat d’Israël.
L’armée israélienne a appelé les habitants du nord de Gaza, soit environ 1,1 million de personnes sur un total de 2,4 millions, à fuir vers le sud de ce micro-territoire de 362 kilomètres carrés coincé entre Israël, la Méditerranée et l’Egypte.
Le 16 octobre, des centaines de personnes étaient massées à la frontière avec l’Egypte, dans l’espoir d’une ouverture du point de passage de Rafah. Un million de personnes, selon l’ONU, ont fui en une semaine vers le sud de la bande de Gaza.
Mais le passage de Rafah contrôlé par l’Egypte est actuellement fermé. Il y a peu d’espoir que ces personnes puissent trouver leur salut de l’autre côté de la frontière.
L’Égypte appelle les palestiniens à rester sur leur terre
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, qui va accueillir le 21 octobre un sommet sur la question palestinienne, a affirmé que les habitants de Gaza devraient "rester sur leur terre".
Martin Griffiths, chargé des situations humanitaires d’urgence à l’ONU, a annoncé qu’il se rendrait ce 174 octobre au Proche-Orient pour "aider aux négociations" sur l’acheminement de l’aide à Gaza.
Ces négociations s’annoncent très compliquées car l’armée israélienne continue ses préparatifs avant une offensive terrestre contre Gaza. "Nous sommes au début d’opérations militaires d’ampleur dans la ville de Gaza", située dans le nord du territoire, a déclaré lundi un porte-parole de l’armée, Jonathan Conricus. "Le prix sera élevé mais nous gagnerons", a affirmé le ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant.
Une telle offensive inquiète la communauté internationale qui redoute un embrasement de la région, surtout après la multiplication des échanges de tirs à la frontière israélo-libanaise entre le Hezbollah libanais pro-iranien, un allié du Hamas, et l’armée israélienne.
Le temps presse pour "trouver des solutions politiques" avant que la propagation du conflit ne devienne "inévitable", a averti Hossein Amir-Abdollahian, ministre iranien des Affaires étrangères.
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