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Jean-Claude Juncker à la tête de la Commission européenne
28 juin 2014, par
Le sommet européen qui s’est ouvert mercredi 25 juin, à Ypres, sur la crise ukrainienne et la nomination de Jean-Claude Juncker à la présidence de la Commission européenne. Une élection vivement contestée par le britannique, David Cameron, qui rejette le fédéralisme du prochain président de la Commission européenne.
Après des semaines de confrontation entre Martin Schulz et Jean-Claude Juncker, c’est ce dernier, âgé de 59 ans, ancien Premier ministre du Luxembourg et ancien patron de l’Euro-groupe qui prendra certainement la tête de la Commission Européenne. Fédéraliste, partisan de plus d’intégration européenne, il serait « mauvais pour l’Europe » a assuré le Premier ministre britannique.
Pour ce dernier, les décisions prises par les différents groupes politique est un renoncement « au droit des chefs d’État et de gouvernement à choisir le président de la Commission, c’est une erreur ». Cependant, Jean-Claude Juncker est le candidat désigné des démocrates chrétiens du PPE, groupe ayant le plus grand nombre de siège au Parlement.
A la suite des élections européenne du 25 mai, les familles politiques de l’UE ont décidé de mettre en place une nouvelle règle. Celle-ci consiste à désigner un chef de file qui, si son parti arrive en tête, se présentera à la tête de la Commission, pour défendre leur méthode. Ainsi, les partis se sont basés sur le traité de Lisbonne, précisant que le Conseil européen (réunion des 28 dirigeants européens) doit présenter un candidat aux eurodéputés en « tenant compte des élections au Parlement européen ».
Homme de coalition, David Cameron avait perdu d’avance, le Parti populaire européen, centre-droit et les socialistes se sont accordés le 24 juin pour le nommer. Un compromis qui reflète de la personnalité de Jean-Claude Junker. En effet, ce dernier manierait l’art du consensus. Par cette nomination, les socialistes européens espèrent obtenir du « temps pour la réduction des déficits », a affirmé le vice-chancelier allemand, Sigmar Gabriel, et une flexibilité sur l’austérité souhaitée par Bruxelles. Pour l’ancien ministre des Finances Pierre Moscovici, le soutien à Jean-Claude Juncker n’est pas « un chèque en blanc », ce serait le moyen d’avoir une Europe « moins libérale ».
L’Union européenne a conclu, vendredi 27 juin, le second volet de l’accord d’association économique avec l’Ukraine, mais aussi la Géorgie et la Moldavie, trois ex-républiques soviétiques qui veulent se rapprocher de l’Europe occidentale. « C’est un grand jour pour l’Europe », a déclaré Herman Van Rompuy, président du Conseil européen. Ce dernier a assuré que « l’Union européenne se tient à vos côtés, aujourd’hui plus que jamais », avant la signature de l’accord avec le président ukrainien Petro Porochenko et les Premiers ministres géorgien Irakli Garibachvili et moldave Iurie Leanca à l’occasion d’un sommet européen à Bruxelles.
Pour sa part, Petro Porochenko a parlé d’un « grand jour ! Peut-être le plus important pour mon pays depuis l’indépendance » en 1991, ajoutant que « les évolutions historiques sont inévitables ». Ce dernier a ajouté que l’accord s’appliquait à « toute l’Ukraine, y compris la Crimée ».
Les dirigeants de l’Union européenne ont donné trois jours à la Russie pour engager des actions concrètes destinées à faire baisser les tensions dans l’est de l’Ukraine, sous peine de nouvelles sanctions. Quatre conditions ont été imposé et devront être remplies d’ici à lundi à la mi-journée, parmi lesquelles, « l’ouverture de négociations de fond sur l’application du plan de paix du président Porochenko », selon les conclusions du Conseil. De son côté, le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Grigori Karasine, cité par l’agence Interfax, a averti de « graves conséquences » pour Kiev.
Céline Tabou
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Messages
29 juin 2014, 13:49, par titienne
Certaines élections parfois, sont plus des alliances objectifs que domaine du désidérata populaire, même à la réunion !