
Lo Ladministrassion o santre é tanpir pou lé zot !
8 juillet, parMézami bann marmaye lékol dopi étan pti ziska étan jenn-jan lé an vakanss é mi souète azot ropoz azot in pé an atandan la rantré i ariv… In rogré (…)
Autosuffisance alimentaire
26 octobre 2015
Le gouvernement nigérien envisage de mobiliser les populations autour de la culture du manioc pour lutter efficacement contre l’insécurité alimentaire et la pauvreté, a indiqué lundi le ministre nigérien en charge de l’Agriculture, Maidadji Alambeye.
Dans une interview à l’hebdomadaire gouvernemental SAHEL DIMANCHE, Alambeye a précisé que la culture du manioc est peu exigeante en eau, « adaptée à notre écologie » et résiste beaucoup à la sécheresse. « Nous allons faire de cette culture, une culture vivrière à intégrer dans nos pratiques agricoles et alimentaires sur toute l’étendue du territoire national », a-t-il déclaré.
La campagne agricole en cours a eu un démarrage tardif comparativement à celle de 2014. Un retard d’un à deux mois a été enregistré, suivi de séquences de sécheresse et des vents violents qui ont détruit les jeunes pieds de mil. Mais cette situation est variable d’une région à une autre, selon le ministre de l’Agriculture.
Aujourd’hui, avec le retour des pluies, tous les espoirs sont permis. Le nouveau mil et des gousses de niébé sont apparus dans plusieurs régions (Dosso, Tahoua, Zinder, Maradi) et des récoltes de mil sont également observées dans la région de Dosso, plus particulièrement dans les départements de Gaya, Boboye.
« Notre grand espoir, c’est de voir les pluies tomber, et nous prions Dieu, le Miséricordieux ? pour que la saison se poursuive jusqu’à la fin du mois de septembre et même en octobre », a-t-il souhaité.
Pour faire preuve d’anticipation face à une campagne agricole qui risque d’être déficitaire, le gouvernement nigérien a lancé, début août, une campagne de boutures de manioc sur l’ensemble du pays.
Dans le cadre de cette opération 7.500 hectares seront emblavés pour une production brute attendue de 150.000 tonnes de tubercules, ce qui correspondrait à 63 600 tonnes en équivalent céréalier ou encore à 27 milliards de francs CFA en termes de revenus monétaires susceptibles d’être générés.
Pour atteindre cet objectif, l’Etat et ses partenaires au développement « ne ménagent aucun effort pour mettre à la disposition des régions les moyens financiers pour l’achat de boutures, le ciblage des ménages bénéficiaires, la distribution des boutures, etc. ».
Selon le ministre de l’Agriculture, la distribution des fagots des boutures de manioc se poursuit activement au niveau de chaque région jusqu’à la première quinzaine du mois d’octobre 2015.
Il a souligné qu’en marge de cette opération boutures de manioc, une enquête sera diligentée pour apprécier la fonctionnalité des unités de transformation existantes, identifier les problèmes liés à la production, la transformation et la commercialisation du manioc et de ses dérivés sur toute l’étendue du territoire national.
Le traitement des données ainsi collectées, aboutira à l’élaboration d’un Programme national de Développement des Tubercules (Pndt) en vue d’augmenter la production, améliorer la transformation et la commercialisation du manioc dans une logique de renforcement de la sécurité alimentaire au Niger.
Aliment pour le ménage, fourrage pour le bétail et matière première pour l’industrie de transformation avec l’obtention d’une gamme de produits à valeur ajoutée, le manioc est une culture polyvalente. Très riche en calories et amidon (75 %), en vitamines B et C, le manioc est recommandé aux personnes qui souffrent d’ulcère et autres problèmes gastriques. Une infusion des feuilles de manioc peut faire baisser la température du corps et les jeunes feuilles sont consommées au Niger comme légumes.
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