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30 mois après le Printemps arabe
16 juillet 2013, par
La révolte de la classe moyenne soutenue par l’armée va-t-elle dégénérer en guerre civile ?
Au lendemain de la décolonisation, des régimes sont mis en place au Moyen Orient et en Afrique du Nord. Ce sont des monarchies ou des Etats laïcs dominés par l’armée. Ces systèmes institutionnels divers ne garantissent pas le respect des valeurs démocratiques à leurs concitoyens, mais ils permettent à l’Occident de pouvoir compter sur un approvisionnement régulier en pétrole.
Mais les régimes en place n’arrivent plus à maîtriser un mécontentement grandissant. La population augmente rapidement, tout comme le niveau de formation et des millions de jeunes diplômés sont sans emploi. Le niveau de vie moyen augmente, ce qui permet la création d’une classe moyenne. Dans le même temps, l’usage des nouveaux médias de communication se développe dans cette classe moyenne.
La carte des institutions du Moyen Orient et de l’Afrique du Nord est bouleversée.
Révolte lancée par la classe moyenne
Fin 2010, c’est de Tunisie que part le mouvement lancé par cette classe moyenne. Elle est rejointe par les couches populaires, et en quelques jours le régime tombe. En Egypte, le mouvement débute par une manifestation d’un millier de personnes sur la place Tahir au Caire, essentiellement des représentants de cette nouvelle classe moyenne. Comme en Tunisie, l’union arrive à se faire avec les couches populaires. L’armée décide de lâcher un de ses anciens chefs, et le régime fondé par Nasser s’effondre.
Entre ces deux pays, l’effondrement de la Libye sous les coups de l’OTAN a pour conséquence la dispersion de combattants et de leurs arsenaux au Niger et au Mali. C’est là qu’ils tentent de prendre le pouvoir au Mali, avant que l’armée française n’intervienne pour protéger un régime issu d’un coup d’Etat.
Affrontements meurtriers
En Tunisie et en Egypte, des élections ont lieu. Plus nombreuses, les couches populaires décident de porter au pouvoir des partis qui ne correspondent pas au souhait de la classe moyenne. Dans les deux pays, ce sont des partis liés aux Frères musulmans. Cette organisation avait réussi à survivre malgré la répression dont elle faisait l’objet.
En Egypte, la classe moyenne a fini par demander dans la rue le départ du gouvernement. Rapidement, elle est appuyée par l’armée qui fixe un ultimatum, puis met aux arrêts le président de la République. Des affrontements violents ont lieu avec les partisans des Frères musulmans, qui condamnent un coup d’Etat. Est-ce le début d’une guerre civile entre les couches moyennes appuyées par l’armée et les classes populaires ? Quelles seront les conséquences pour le monde d’une déstabilisation durable du pays le plus peuplé du Moyen-Orient ?
M.M.
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