
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Les effets du contrat de fourniture entre la Russie et la Chine
26 mai 2014
Derrière la bataille pour le contrôle de l’Ukraine se cache aussi une lutte pour les matières premières. La signature d’un accord entre la Russie et la Chine remet-elle en cause l’approvisionnement de l’Europe en gaz russe ? Ce nouveau débouché suscite un débat exposé dans les colonnes de Ria Novostny :
Le président de Gazprom Alexeï Miller pense que l’Europe s’est inclinée face à l’Asie pour la place de principal marché d’écoulement de gaz naturel liquéfié (GNL) russe, écrit lundi le quotidien RBC Daily. L’Asie paie en effet plus cher pour acquérir cette matière première et les Européens devront s’ajuster s’ils veulent remplir leurs terminaux de GNL, à moitié vides.
Les experts pensent qu’Alexeï Miller tente simplement d’effrayer l’Europe.
"La différence significative des tarifs gaziers entre l’Europe et les marchés asiatiques a conduit à des exportations conséquentes de gaz des terminaux européens vers le marché asiatique », a déclaré le président du conseil d’administration de Gazprom au Forum économique de Saint-Petersbourg.
Selon lui, cette tendance se maintiendra à long terme alors même qu’on constate en Europe une diminution de la production de gaz et une hausse des importations d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. « Les chiffres sont terrifiants – les terminaux de regazéification de GNL en Europe, d’une capacité de 100 millions de tonnes, ne sont actuellement remplis qu’à 22%, contre 90% en 2003 », a déclaré Alexeï Miller.
Selon ce dernier, la signature d’un contrat de 30 ans entre Gazprom et le chinois CNPC a marqué le début d’une « ère de concurrence pour le gaz russe », ce qui aura à terme « un impact sur les tarifs gaziers sur le marché européen ».
Les analystes interrogés par RBC Daily ne partagent pas le point de vue de Miller.
« Les fournitures de gaz russe en Chine commenceront dans 3 ou 4 ans. D’ici là, l’Europe recevra du GNL américain. Les tarifs asiatiques sont un point de repère pour les USA mais le cours européen les satisfera également. Il faut également tenir compte du fait que le marché gazier américain perdra le Nigéria et l’Angola, qui pourront rediriger leurs fournitures vers l’Europe.
La Norvège et l’Algérie maintiendront leurs livraisons au même niveau sur le continent européen », estime Ulli Ulsen, expert à l’institut des études énergétiques d’Oxford.
Le marché asiatique est effectivement prioritaire aujourd’hui : le cours moyen du gaz y est largement supérieur à l’européen – 570 dollars les mille mètres cubes en 2013 contre 380 dollars en Europe. Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), le marché gazier asiatique est celui qui connaît la plus forte croissance dans le monde. L’AIE s’attend à ce qu’il occupe la deuxième place en termes de consommation de gaz (plus de 790 milliards de mètres cubes par an) dès 2015.
Cependant, la concurrence croissante des exportateurs en Asie pourrait jouer en faveur des Européens. « Dans les 12 prochains mois l’Australie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée commenceront à approvisionner l’Asie, ce qui pourrait pousser le Qatar à rediriger une partie des fournitures gazières de l’Asie vers l’Europe », a déclaré Ulli Ulsen. De plus, en 2018 l’Europe pourrait commencer à recevoir du gaz d’Israël, et en 2020 de Chypre et d’Afrique de l’est.
Selon l’association Eurogas, 33% des fournitures de gaz totales en Europe en 2013 étaient d’origine européenne (une baisse de 1% en un an). La Russie est en tête des fournisseurs (27% des livraisons totales), suivie de la Norvège (23%) et de l’Algérie (8%). La part du GNL du Qatar parmi les sources européennes s’est réduite à 4% en 2013 contre 6% en 2012.
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