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Cinq mois après l’échec de la stratégie des USA à Copenhague
15 avril 2010, par
Durant 48 heures, les dirigeants de 47 pays du monde se sont réunis à Washington pour tenter d’établir des mesures afin de sécuriser les matériels nucléaires vulnérables et prévenir les actes du terrorisme nucléaire, d’ici quatre ans. Mais également développer une position commune face à la menace du terrorisme nucléaire.
Confronté à une crise sociale sans précédent, Barack Obama ouvre un nouveau front pour rallier l’opinon américaine et internationale à sa cause en organisant le Sommet international de la sécurité nucléaire.
Ce sommet se tient après que Barack Obama ait signé le 8 avril, à Pragues, le Traité de désarmement nucléaire avec Dimitri Medvedev.
Les États-Unis ont également préconisé des sanctions contre des pays possédant l’arme nucléaire, notamment l’Iran et la Corée du Nord. Ces deux pays sont des points focaux de la politique américaine depuis une dizaine d’années. Le rassemblement de ces 47 dirigeants pesera dans le traitement de ces deux questions.
Le souci de Barack Obama est de rallier les pays du Sud et d’Asie à sa politique sur le nucléaire. Il a souhaité anticiper les actions des nouveaux états (Inde, Pakistan, Corée du Nord) entrés dans le groupe des pays détenteur de l’arme nucléaire. Il s’est alors entretenu avec Hu Jintao et des membres non permanents du Conseil de sécurité de l’ONU.
La position chinoise
Connaissant la politique de non ingérence des Chinois, Barack Obama a tenté de persuader Hu Jintao lors d’une rencontre privée, d’élaborer une série de sanctions contre l’Iran. Accusé par des médias occidentaux d’être responsable de l’échec du Sommet de Copenhague, en décembre 2009, à cause de sa rivalité avec les États-Unis, Pékin s’est dite prête à "travailler avec les États-Unis". C’est un pas en avant important, notamment au vue des dernières tensions qu’il y a eu entre eux.
Volte face, en fin d’après midi. L’un des membres de la délégation chinoise du Conseil de sécurité annonce un changement de position, or la Chine dispose d’un droit de véto sur toutes les décisions du Conseil de sécurité de l’ONU en tant que membre permanent, et donc sur les sanctions possibles contre l’Iran.
Jiang Yu, porte-parole du ministre chinois des Affaires étrangères, a annoncé que la Chine a "réitéré sa position sur la question du nucléaire iranien". Le ministère chinois des Affaires étrangères a estimé que "la négociation diplomatique est la voie à suivre par les parties concernées, pour résoudre le problème". M. Jiang a ajouté lors d’une conférence de presse, "nous nous opposons à ce que l’Iran détienne des armes nucléaires. Nous soutenons également une stratégie sur deux fronts. Nous insistons sur le fait que le dialogue et la négociation sont les meilleurs moyens pour résoudre le problème. Les sanctions ne seront pas une solution".
Les sanctions contre l’Iran pourraient porter préjudices aux échanges entre Pékin et Téhéran, Hu Jintao n’avait pas caché ses inquiétudes vis à vis des "de l’impact des sanctions". Les échanges commerciaux se sont accentués depuis 2001, après l’annonce des JO à Pékin et l’adhésion de la République populaire à l’Organisation mondiale du commerce, la Chine a du faire face à un besoin croissant d’énergie. La Chine importe plus de 100 millions de tonnes de Gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance d’Iran.
Prochain sommet en Corée du Sud
La clôture du Sommet international de la sécurité nucléaire a abouti par l’adoption d’un communiqué et d’un plan d’action exhortant à des mesures concrètes nationales et internationales.
Des sanctions devraient être annoncées contre Téhéran en avril ou mai, d’après Nicolas Sarkozy. "Tous les pays réunis ici sont convenus de la nécessité d’une vigilance accrue et permanente sur les stocks de matières nucléaires civiles et militaires et sur les savoir-faire scientifiques nucléaires", a-t-il indiqué lors d’une conférence de presse à l’issue du sommet international sur la sécurité nucléaire.
Barack Obama a annoncé que le prochain Sommet sur la sécurité nucléaire sera en Corée du Sud, dans deux ans. Le président sud-coréen, Lee Myung-bak a expliqué que la Corée du Nord était invitée, si PyongYang s’engageait à renoncer à son programme nucléaire. Pour le moment, Kim Jong-Il n’a pas répondu à l’invitation, ni réagi à ce sommet internation.
Céline Tabou
La présidentielle de 2012 s’invite au débat
Le sommet a été aussi l’occasion pour le président de la République de traiter une question de politique intérieure quelques semaines après une défaite historique de l’UMP. Nicolas Sarkozy a ainsi annoncé qu’il ne renoncera pas à l’arme nucléaire, un message sans doute à destination de la tranche "souverainiste" de l’électorat qui l’a porté à l’Élysée en 2007. Il a qualifié cet armement de "garantie de sécurité" de la France, mais aussi pour ne pas sancitonner les avancées en recherche et développement dans le domaine.
La France possède 58 réacteurs nucléaires en activité sur 19 sites répartis à travers toute la France, les avancées technologiques ont permi à la France de concurrencer les États-Unis, et de devenir le numéro un mondial du nucléaire.
La question du terrorisme nucléaire
Dans un communiqué commun, les 47 pays réunit ont convenu, que le terrorisme nucléaire est "une des menaces internationales les plus redoutables". Ils ont, donc à la clôture de ce Sommet international sur la sécurité nucléaire, décidé de "renforcer la sécurité nucléaire et réduire cette menace par des actions nationales responsables et une coopération internationale soutenue et efficace", selon l’agence de presse Reuters.
L’inquiétude de Washington est de voir Al Qaïda avoir une arme nucléaire est à l’origine de ce sommet, "nous savons que des organisations comme Al-Qaïda sont en train d’essayer d’obtenir une arme nucléaire, une arme de destruction massive qu’elles n’auront aucun scrupule à utiliser", a déclaré Barack Obama, lors de l’ouverture du Sommet, le 12 avril dernier. Washington estime que l’Iran et le Pakistan pourraient fournir des armes nucléaires au groupe terroriste.
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