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Moyen-Orient
Une initiative déjà condamnée par les colonialistes israéliens
20 septembre 2003
Le président palestinien a entamé des discussions avec les groupes palestiniens armés en vue d’obtenir une trêve. Une initiative de paix à laquelle les dirigeants américains, contrairement à ceux d’Israël, ne sont pas d’emblée hostiles.
Dans un climat de pessimisme général, les Palestiniens évoquent de nouveau un cessez-le-feu avec Israël, par la voix de Yasser Arafat en personne. Soumis à une forte pression depuis que le cabinet de sécurité israélien l’a déclaré expulsable, le président de l’Autorité palestinienne a proposé une trêve dans une série d’interviews accordées à trois chaînes de télévision depuis son QG à moitié démoli de Ramallah.
Lorsque les journalistes de deux chaînes israéliennes et d’Al-Jazira lui ont demandé s’il existait la possibilité d’un nouveau cessez-le-feu, Yasser Arafat a répondu : « Bien sûr. Vous êtes invités. L’annonce a été faite hier », faisant allusion aux propos de son conseiller pour la sécurité nationale Jibril Rajoub. Celui-ci avait proposé mercredi, en hébreu et sur les ondes de la radio israélienne, « un cessez-le-feu à durée indéfinie qui doit permettre aux deux parties de s’asseoir et de discuter d’un règlement définitif ».
Yasser Arafat a expliqué que des discussions étaient en cours avec les factions armées palestiniennes, y compris le Jihad islamique et le Hamas. Le président aurait récemment dépêché un cadre du Fatah, Zacaria al-Agha, auprès du Cheikh Yassine, le chef spirituel du mouvement politico-terroriste Hamas, dont les dirigeants et les cadres sont condamnés à vivre dans la clandestinité ou sous très haute protection. La condition posée par les groupes armés serait que le cessez-le-feu soit, cette fois, bilatéral, exigeant qu’Israël s’engage à ne plus mener d’opérations militaires contre des cibles palestiniennes.
Le porte-parole du Premier ministre Ariel Sharon, Raanan Gissin, a aussitôt repoussé l’offre. Les Israéliens estiment qu’il ne s’agit que d’une réaction urgente, après les menaces des Israéliens sur la personne du président palestinien. Leur exigence première est que l’Autorité autonome s’attèle d’abord à désarmer les mouvement paramilitaires. Mais en a-t-elle les moyens ?
Toutefois, le ministre palestinien des Affaires étrangères Nabil Chaath a révélé que le gouvernement américain ne s’opposait pas à la recherche d’un nouveau cessez-le-feu, estimant que cela faisait partie de la "feuille de route". « Il veulent des garanties sur le fait que les deux parties respectent leur accord », a ajouté le diplomate palestinien.
Pourtant, mardi, les États-Unis ont mis mardi leur veto au projet de résolution arabe exigeant qu’Israël n’expulse pas Yasser Arafat. Un projet qui a reçu 11 voix pour, dont la France, la Russie et la Chine, une seule contre, celle des États-Unis, et trois abstentions (Bulgarie, Allemagne et Grande Bretagne). C’était la 77ème fois depuis la création des Nations Unies que les Etats-Unis font usage de leur droit de veto et le précédent, le 20 décembre, avait été opposé à un autre projet de résolution condamnant l’attitude des dirigeants d’Israël.
Le projet de résolution, présenté par la Syrie et le Soudan, « exigeait qu’Israël, la puissance occupante, s’abstienne de procéder à la déportation et cesse toute menace à la sécurité du président élu de l’Autorité palestinienne ». Ce projet indiquait également que le Conseil « exprime son appui sans réserve aux initiatives du Quartette et demande de redoubler d’efforts pour assurer la mise en œuvre de la feuille de route par les deux parties ».
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