
Hommage à la femme de Bruny PAYET
1er juillet, parLa section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
Jetés en prison par une justice coloniale
18 août 2004
La grève de la faim entamée dimanche dernier par 1.500 prisonniers palestiniens pour protester contre leurs conditions d’incarcération pourrait s’étendre alors que l’Autorité palestinienne a décrété une ’Journée de jeûne et de solidarité’. Les détenus réclament la suppression des vitres de séparation durant les visites, l’installation de téléphones publics dans les prisons, la fin des fouilles corporelles ’humiliantes’ et des punitions en cellules spéciales très étroites. Ils veulent surtout que les autorités israéliennes délivrent des autorisations de visite à leurs familles, un droit qui, selon le Comité international de la Croix-Rouge, leur est souvent refusé.
4.000 des 7.500 Palestiniens détenus dans les prisons israéliennes le sont officiellement pour des raisons de sécurité. Certains au terme d’une procédure administrative, qui permet de les incarcérer sans qu’il soit nécessaire d’avoir des charges contre eux. Leurs conditions d’incarcération sont régulièrement dénoncées par les organisations de défense des droits de l’homme qui évoquent également les mauvais traitements et la pratique courante de la torture.
"En ce qui me concerne, ils peuvent faire la grève un jour, un mois, jusqu’à ce que mort s’ensuive, ce sera comme s’il ne s’était jamais rien passé", a déclaré lundi, le ministre israélien de la Sécurité. Invoquant le danger que représenterait ces détenus, il a affirmé que le gouvernement n’était "pas prêt au moindre compromis avec eux". L’administration a immédiatement réagi en supprimant les visites et en interdisant journaux, cigarettes et appareils électriques. Le sel mit de côté pour éviter la déshydratation a également été confisqué. Selon la presse israélienne, l’administration compte aussi sur l’odeur des barbecues qu’elle a installés dans les cours des prisons pour affaiblir la détermination des grévistes. "Il ne s’agit pas d’une politique officielle", s’est défendu le porte-parole de la pénitentiaire tout en reconnaissant que la méthode pouvait être utilisée "par des gardiens".
La solidarité avec les grévistes s’organise. Lundi, 3.000 personnes ont manifesté à Gaza et remis à l’ONU une lettre demandant au secrétaire général de l’organisation de "faire pression" sur Israël pour mettre fin aux mauvais traitements dont sont victimes les prisonniers. À Ramallah, la population est venue apporter son soutien aux familles de détenus installés dans une tente. Une grève commerciale a été entamée à Hébron et selon le journal israélien “Haaretz”, une grève générale pourrait s’étendre à tous les territoires. Le même journal rapporte qu’une dizaine d’enfants ont déposé lundi une plainte devant la Haute cour de justice pour être autorisés à avoir des contacts avec leurs parents durant les visites en prison. L’Autorité palestinienne a promis "d’en appeler à l’ONU pour que nos détenus soient considérés comme des prisonniers de guerre puisque nos territoires sont occupés". La cause largement consensuelle des détenus palestiniens en Israël pourrait permettre à l’Autorité, qui vient de subir une fronde sans précédent dans ses rangs, de refaire son unité.
(Source "l’Humanité")
Pendant ce temps, la colonisation se poursuit...
L’Autorité nationale palestinienne a condamné hier la décision prise par le Premier ministre israélien Ariel Sharon de construire un millier de logements dans des colonies de Cisjordanie.
Nabil Abou Rudeineh, un proche conseiller du dirigeant palestinien Yasser Arafat, a indiqué aux journalistes que l’ANP condamnait la décision du gouvernement israélien d’élargir les colonies juives dans les territoires de Cisjordanie.
Il a précisé que l’ANP avait demandé aux États-Unis et au Comité du quartette "de ne pas permettre au gouvernement israélien de continuer ses plans qui trompent le monde et n’appliquent pas les conventions et les décisions mondiales".
Le Premier ministre Ariel Sharon a approuvé mardi un plan concernant la construction d’un millier de nouveaux logements dans quatre grandes colonies de Cisjordanie, peut-être pour persuader les membres du Likoud constituant la ligne dure du parti d’accepter l’idée d’inclure le Parti travailliste dans la direction du gouvernement.
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
C’est avec tristesse que nous apprenons le décès de Nadia Payet, veuve de notre camarade Bruny Payet. Témoignages adresse ses condoléances à (…)
Mézami zot i koné lo kozman k’i di konmsa : « la loi sé lékspréssyon la volonté zénéral. ».Poitan défoi ou lé a’dmandé kossa i lé oziss volonté (…)
Face à l’urgence de la situation de la maltraitance animale à La Réunion, l’association CIANA a lancé un appel aux décideurs, afin de "travailler (…)
Mézami,médam, zé méssyé , la sossyété, lé pa toulézour wi gingn in bon akèye. Défoi oui, défoi non, sirtou dann in sossyété wi koné pa bien lo (…)
Cinq mois après le lancement du plan « Anti-bandes », composante majeure du plan d’action départemental de restauration de la sécurité au (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Une fois de plus, des femmes sont la cible d’une forme de violence lâche, insidieuse et profondément inquiétante : les attaques à la seringue dans (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)