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D’après une nouvelle étude
11 janvier 2008
Il ressort d’une vaste enquête sur les ménages menée par le Gouvernement Iraquien et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) que 151.000 Iraquiens sont morts de mort violente entre mars 2003 et juin 2006.
Ces résultats, publiés aujourd’hui sur le site Web du “New England Journal of Medicine”, se fondent sur des données recueillies dans le cadre d’une enquête plus large sur la santé de la famille en Iraq devant permettre au Gouvernement Iraquien d’élaborer et d’actualiser ses politiques sanitaires et de planifier les services.
L’estimation se fonde sur des interrogatoires menés auprès de 9345 ménages dans quelque 1000 quartiers et villages répartis sur tout le territoire iraquien. Les chercheurs soulignent qu’en dépit de l’ampleur de l’enquête, l’incertitude inhérente à ce type d’exercice les a conduits à conclure que le nombre d’Iraquiens morts de mort violente pendant cette période était compris entre 104.000 et 223.000.
« L’évaluation du nombre de décès dans les situations de conflit est une opération extrêmement difficile et les résultats de cette enquête sur les ménages doivent être interprétés avec prudence », a déclaré un des coauteurs de l’étude, M. Mohamed Ali, un statisticien de l’OMS qui a fourni une assistance technique pour cette enquête. « Toutefois, en l’absence d’une comptabilisation complète des décès par les services d’état civil et les hôpitaux, les enquêtes sur les ménages sont le meilleur moyen dont nous disposons. »
« Les chiffres qui ressortent de cette enquête sont trois fois plus élevés que ceux établis dans le cadre du projet Iraq Body Count sur la base d’une étude systématique des rapports de presse mais environ quatre fois plus faibles que ceux résultant d’une enquête sur les ménages à plus petite échelle réalisée au début de l’année 2006 », a ajouté Naeema Al Gasseer, le représentant de l’OMS en Iraq.
L’étude montre que la violence est devenue l’une des principales causes de décès pour les adultes iraquiens après mars 2003 et la principale cause de décès pour les hommes âgés de 15 à 59 ans. Il en ressort également qu’en moyenne, 128 Iraquiens par jour sont morts de mort violente dans la première année qui a suivi l’invasion et que le chiffre moyen des décès par mort violente a été de 115 par jour la deuxième année du conflit et 126 par jour la troisième année. Plus de la moitié de ces morts violentes ont eu lieu à Bagdad.
« Nous n’avons pas pu nous rendre dans certains foyers en raison du haut niveau d’insécurité et il y a davantage de mouvements de population dans les périodes de conflit. Ces facteurs ont été pris en compte dans notre analyse car ils peuvent influer sur l’exactitude des résultats de l’enquête », a déclaré Salih Mahdi Motlab AlHasanawi, Ministre iraquien de la Santé. « Néanmoins, les résultats de l’enquête font apparaître une augmentation massive du nombre de décès depuis le début du conflit. »
En dehors des décès proprement dits, l’enquête iraquienne sur la santé de la famille a permis d’étudier des indicateurs de la santé tels que le nombre et le déroulement des grossesses, l’état de santé mentale, les maladies chroniques et le tabagisme, les infections sexuellement transmissibles, les violences domestiques et la structure des dépenses de santé.
Un autre résultat notable et inquiétant de cette enquête est que seulement 57% des femmes interrogées avaient entendu parler du sida, alors qu’elles sont 84% dans ce cas en Turquie et en Egypte, 91% au Maroc et 97% en Jordanie.
Sources OMS
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