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Malgré l’accord de cessez-le-feu signé par l’armée israélienne d’occupation
5 septembre 2014
Près d’une semaine après la signature de l’accord de cessez-le-feu, les humanitaires et les garde-frontières constatent qu’aucune restriction n’a été assouplie. Or, nombreux étaient ceux qui croyaient que l’accord prévoyait une levée partielle du blocus imposé à Gaza. Extrait d’un article publié par IRIN.
Les organisations non gouvernementales (ONG) souhaitent augmenter l’aide accordée à la région palestinienne, mais les restrictions d’accès continuent d’entraver leur travail. La campagne de bombardement israélienne qui vient de se terminer a duré 50 jours ; elle a fait plus de 2 000 morts, des milliers de blessés et détruit la majeure partie des infrastructures de l’enclave.
Les conditions exactes de l’accord de cessez-le-feu signé la semaine dernière par Israël et diverses factions palestiniennes n’ont pas été révélées, mais de nombreux médias ont rapporté que Tel-Aviv s’était engagé à assouplir les règles de circulation aux frontières en échange d’une cessation des hostilités et qu’on s’attendait à ce que l’Égypte allège elle aussi son blocus.
Parmi les questions les plus litigieuses, un grand nombre ont été laissées ouvertes et seront abordées lors des négociations qui doivent avoir lieu dans trois semaines. Les travailleurs humanitaires espéraient malgré tout des changements rapides dans les politiques en matière d’accès humanitaire et d’autres types d’accès.
La bande de Gaza est soumise à un blocus terrestre et maritime imposé par les autorités israéliennes et égyptiennes depuis la prise de contrôle du territoire par le Hamas, en 2007.
Les politiques appliquées avant le cessez-le-feu sont demeurées en vigueur dans les trois principaux postes-frontières : ceux d’Erez et de Kerem Shalom, à la frontière israélienne, et celui de Rafah, à la frontière égyptienne. « Pour le moment, il n’y a eu aucun changement dans le régime de circulation des personnes et des marchandises aux postes d’Erez et de Kerem Shalom », a dit Maria José Torres, directrice adjointe de la branche régionale du Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA) dans les Territoires palestiniens occupés (TPO).
Elle a dit que l’organisation espérait davantage de transparence de la part des autorités au sujet de l’ouverture des frontières. « Nous nous attendions à ce que l’accord de cessez-le-feu comprenne une sorte de calendrier pour l’allégement et la levée du blocus, mais rien n’a été annoncé publiquement jusqu’à présent. Il est possible que nous ne soyons pas au courant de tout », a-t-elle dit, faisant référence aux négociations indirectes qui ont actuellement lieu entre les factions palestiniennes et Israël.
La réduction du nombre de marchandises dont l’accès est limité est l’un des principaux points de friction. Israël impose notamment des restrictions à l’entrée sur les engrais, le ciment, les câbles d’acier et même certains tissus. Tel-Aviv estime que ces marchandises peuvent avoir un « double usage », c’est-à-dire qu’elles peuvent être utilisées par la population civile, mais aussi par des groupes militants à l’occasion d’attaques.
Wael Abu Omar, un porte-parole des autorités gazaouies, a également dit que les responsables s’attendaient à un assouplissement immédiat des restrictions et à une augmentation de la circulation après le cessez-le-feu. Il a cependant ajouté que les politiques n’avaient pas changé et que le nombre de camions commerciaux qui entraient quotidiennement était resté plus ou moins semblable à celui qui prévalait pendant le conflit, soit entre 200 et 250.
« Il ne nous reste plus qu’à attendre et à voir ce que les prochains jours nous réservent. Nous attendons qu’on nous donne ce qu’on nous a promis, mais rien n’a changé jusqu’à présent », a-t-il dit.
Fikr Shaltoot, directrice des programmes à Gaza pour Medical Aid for the Palestinians (MAP), une œuvre de bienfaisance basée au Royaume-Uni, a dit que les membres de son organisation avaient eux aussi été déçus par l’absence de changement. « Nous espérions constater des changements immédiats à tous les postes frontaliers. Je n’ai remarqué aucune amélioration jusqu’à maintenant », a-t-elle dit, ajoutant que les besoins médicaux à Gaza sont criants. « Il y avait déjà de graves pénuries de médicaments avant l’agression – les réserves de 28 pour cent des biens essentiels étaient épuisées », a-t-elle dit. « La situation est maintenant critique. »
(Source IRIN)
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