
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
International Alert met en garde contre une nouvelle intervention militaire
16 février 2016
Une deuxième intervention militaire en Libye pourrait asseoir les positions de groupes tels que Daech en encourageant de nouveaux recrutements, selon l’organisation de consolidation de la paix International Alert, qui plaide plutôt en faveur d’un renforcement du dialogue et du processus politique dans le pays.
« La perspective d’une deuxième intervention en Libye se confirme de jour en jour. Le but est d’éliminer ou au moins de repousser les forces de l’État Islamique en Libye, où environ 3 000 combattants sont présents, principalement dans la ville de Syrte.
Selon Rebecca Crozier, responsable du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord chez International Alert :
« Une telle opération pourrait bien créer plus de problèmes qu’elle ne prétend en résoudre. Comme nous l’avons vu dans d’autres contextes, par exemple en Afghanistan et en Syrie, en plus d’être insuffisantes, les frappes aériennes peuvent également être contre-productives en donnant une légitimité supplémentaire aux forces visées par les attaques - ici l’État islamique - et conduire à de nouveaux recrutements ».
En 2011, la première intervention militaire de l’OTAN en Libye, qui n’a pas été accompagnée d’un plan global à long terme, a laissé derrière elle un pays fragmenté au bord de l’implosion, sans institutions d’Etat et en proie au conflit entre milices armées rivales.
Pour Rebecca Croisier,
« ajouter de la guerre à la guerre risque d’aggraver davantage la situation, d’augmenter le nombre de victimes civiles, de finir d’anéantir les infrastructures du pays, d’amplifier les dissensions et de permettre à Daech de se présenter comme une force de résistance contre les « impies de l’Occident » tout en essayant de mettre la main sur les ressources pétrolières du pays. Cela risque de rendre la mise en place d’une gouvernance plus démocratique et inclusive en Libye encore plus difficile ».
Une nouvelle intervention militaire pourrait également alimenter l’instabilité dans la Tunisie voisine, en particulier dans les villes frontalières de Ben Guerdane et de Dhiba.
Olfa Lamloum, responsable pays pour International Alert en Tunisie, explique :
« Une intervention militaire en Libye risque de déstabiliser davantage la Tunisie, non seulement en raison de la crise des réfugiés qu’elle provoquera, mais également en exposant son territoire à la menace de la vengeance terroriste. Pour les Tunisiens, l’insécurité et le chaos économique que créerait une telle intervention seront l’inévitable prix à payer. »
Et Rebecca Croisier d’ajouter :
« La communauté internationale doit redoubler d’efforts pour encourager le dialogue et une solution politique inclusive. Mais bien entendu, cela prendra beaucoup de temps et demandera beaucoup d’efforts. Ce processus a connu quelques avancées ces derniers mois, mais il faut à présent l’intensifier. Les interventions militaires sont vaines si elles ne s’accompagnent pas d’un processus politique viable, lequel doit bénéficier du soutien des populations locales et inclure une approche globale consistant à combattre l’extrémisme violent en combinant les interventions économiques, sociales, culturelles, sécuritaires et politiques. »
Pour conclure, Olfa Lamloum explique :
« La réponse appropriée à la menace terroriste en Libye est de promouvoir la paix, le développement humain et le soutien total aux hommes et aux femmes qui se battent pour les droits de l’Homme et pour la citoyenneté sociale et politique. La Libye a besoin de paix, pas d’une nouvelle guerre. Ce n’est pas le moment d’abandonner. »
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