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Des dossiers liés au colonialisme marquent la visite du président français en Algérie
7 décembre 2017
Le président français, Emmanuel Macron, a entamé mercredi une visite de travail en Algérie à l’invitation du président algérien, Abdelaziz Bouteflika.
Paris avait qualifié cette visite d’“importante”, surtout qu’elle intervient à la veille de la réunion du comité gouvernemental conjoint de haut niveau entre les deux pays, prévue jeudi dans la capitale française. Selon Elysée, l’accent sera mis lors de cette visite sur la « profondeur et la densité des relations entre la France et l’Algérie appelées à se développer davantage ». La « France espère accompagner l’Algérie dans sa vision stratégique pour le développement », a ajouté le communiqué de l’Elysée.
Cette visite est la deuxième effectuée par M. Macron après celle survenue en février 2017 en tant que candidat à la présidentielle française au cours de laquelle il avait qualifié le colonialisme de « crime contre l’humanité ». Mais, la position de M. Macron a évolué, affirmant lors de sa dernière visite en Afrique qu’il ne va pas présenter d’excuses et que la « base pour lui est de ne pas nier les faits mais sans présenter d’excuses ».
Cette nouvelle position du président français a suscité des réactions hostiles dans les réseaux sociaux en Algérie qui ont dénoncé sa présence dans le pays. Des articles de presse ont aussi fait état que les autorités algériennes ont rejeté la demande de M. Macron de rencontrer la société civile algérienne suite à ses déclarations à Ouagadougou. En dépit de l’importance liée aux relations économiques entre les deux pays, l’Algérie étant à la tête des partenaires commerciaux de la France en Afrique et occupe la troisième place de la liste des exportations françaises en dehors des pays membres de l’organisation de la coopération et du développement économique derrière la Chine et la Russie, l’histoire coloniale continue de planer sur les relations entre Paris et Alger, marquée par des troubles depuis l’indépendance de l’Algérie.
Les autorités algériennes ont toujours plaidé pour que la France présente ses excuses pour les crimes liés au colonialisme, insistant sur la nécessité pour les autorités françaises d’indemniser les personnes individuelles et le peuple algérien pour les explosions nucléaires effectuées par la France au Sud algérien.
La page des relations entre les deux pays ne doit pas être tournée au détriment de l’Algérie, ont noté les autorités algériennes, refusant d’oublier ce que le colonialisme français a fait au détriment de l’Algérie. Pour les autorités algériennes, les relations entre les deux pays ne peuvent pas se développer et ne seront jamais normales que si la France présente ses excuses, indemnise et reconnaît les crimes.
Le président algérien, rappelle-t-on, avait lors de la célébration du 55e anniversaire de l’accession de l’Algérie à la souveraineté internationale, le 5 juillet dernier, affirmé que son peuple continue d’exiger la reconnaissance de la France de ses crimes coloniaux en Algérie.
Le président a été accueilli à son arrivée à l’aéroport international Houari Boumediene par le président du Conseil de la nation algérien, Abdelkader Bensalah, qui était accompagné du Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia, du général de Corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, Chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, et du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, signale-t-on.
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