
Hommage à la femme de Bruny PAYET
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Le questionnement grandit après le recueillement
25 août 2008
Le recueillement n’empêche pas les questionnements. En marge de l’hommage national rendu, aux Invalides, en présence du président de la République, Nicolas Sarkozy, et du gouvernement, aux côtés des familles des victimes, la polémique ne dégonfle pas, en France, sur les circonstances de la mort des dix soldats. Avec, en toile de fond, la mise en cause du bien-fondé de la présence des troupes hexagonales et de la décision d’envoyer un renfort de 700 hommes, prise sans vote du Parlement, en avril dernier. Les révélations du journal le Monde de jeudi ont relancé le débat, en rapportant des témoignages de blessés sur des défaillances ayant mis en péril la vie des soldats.
Première exigence, donc, relayée par les familles des victimes : faire la lumière sur la tragédie. Une entreprise qui s’annonce délicate. Les gradés de l’armée française se bornent à réclamer du temps et à relativiser les propos des témoins, mis sur le compte de« la charge émotionnelle », selon le général Irastorza. « Nous sommes au courant des informations dans les médias et nous devons les examiner », s’est contenté de déclarer un haut responsable de l’OTAN, à propos d’éventuels dommages collatéraux.
Les parents des victimes, eux, ne comptent pas « en rester là », a déclaré l’un d’entre eux, Joël Le Pahun, qui demande à Nicolas Sarkozy d’« expliquer ce qui s’est réellement passé, car il y a beaucoup de questions ». Et de réclamer un changement de stratégie : « Il faut que le gouvernement arrête d’envoyer des enfants se faire tuer. »
Nicolas Sarkozy, tout en promettant que « tous les enseignements seront tirés », a confirmé l’engagement de la France « J’ai pris mes responsabilités, j’en assume la gravité », a-t-il dit, mais « nous n’avons pas le droit de perdre », car « laisser les barbares triompher se paiera d’une défaite sur le territoire français », selon lui.
De son côté, l’opposition rappelle qu’il a fallu le dépôt d’une motion de censure au Parlement pour porter le débat sur la place publique.
La France est dans un " bourbier" et la décision de réintégrer le commandement de l’OTAN est "négative". Ce n’est pas l’envoi de nouvelles troupes qui résoudra les problèmes, mais l’aide au peuple afghan pour améliorer sa vie et pour instaurer une vraie démocratie.
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