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25 mars 2008
Quatre soldats sont morts dans l’explosion d’une bombe à Bagdad, portant à au moins 4.000 le nombre de soldats américains tués en Irak depuis le début de la guerre, il y a 5 ans.
Le nombre de militaires américains tués en Irak depuis l’invasion de mars 2003 a atteint la marque symbolique des 4.000 après la mort de 4 soldats dimanche 23 mars dans le Sud de Bagdad.
Les militaires ont été tués vers 22 heures locales par l’explosion d’une bombe au passage de leurs véhicules de patrouille. Un cinquième soldat a été blessé.
Pour l’armée américaine, ce cap symbolique est purement arbitraire. « C’est artificiel dans le sens où on différencie la 4.000ème perte tragique de la première », déclarait récemment le porte-parole Greg Smith dans une interview à Reuters.
Anthony Cordesman, un expert de l’Irak au centre d’études stratégiques et internationales de Washington, n’estime pas moins que ce symbole pourrait déclencher un nouveau débat aux Etats-Unis, en pleine campagne des primaires.
Pour ou contre la guerre
« Ceux qui sont contre la guerre y verront une nouvelle raison d’y mettre fin. Ceux qui la soutiennent insisteront sur les progrès militaires et affirmeront qu’à l’avenir, les victimes seront moins nombreuses », dit-il.
Même si les préoccupations économiques intérieures restent prédominantes aux yeux de l’électeur américain, la guerre en Irak est une question importante en vue de la Présidentielle du 4 novembre.
Les prétendants démocrates Hillary Clinton et Barack Obama ont promis, s’ils sont élus, un calendrier de retrait des 160.000 "boys" déployés en Irak. Le futur candidat républicain John McCain reste partisan du maintien de la présence militaire américaine dans le pays.
Dans son discours marquant le cinquième anniversaire du début de la guerre, le 20 mars 2003, le Président George Bush a estimé jeudi que le retrait des troupes favoriserait Al Qaïda et l’Iran.
Guerilla
Il a dit ne rien regretter de sa décision de déclencher la guerre, qui a fait plonger sa cote de popularité au fil des années, tout en admettant un « coût élevé en vies ».
Bush a lancé la guerre en espérant une victoire rapide avec un minimum de pertes. En mai 2003, il annonçait la fin des grandes opérations de combat sous une banderole "Mission accomplie", mais l’armée américaine s’enlisait dans les mois suivants face à l’insurrection.
Le 1.000ème soldat américain allait mourir en septembre 2004, 18 mois après l’invasion, peu avant la réélection de Bush pour un second mandat.
Le bilan grimpait à 2.000 morts en octobre 2005, en pleine guérilla sunnite contre le gouvernement de Bagdad, puis à 3.000 en décembre 2006, avant que Bush ne décide d’envoyer 30.000 hommes en renfort pour réduire une violence ayant fait des dizaines de milliers de morts parmi les civils et des millions de déplacés.
Impact
« Je doute que le cap des 4.000 ait le même impact que celui des 3.000. La vision à l’époque était que les choses allaient empirer », estime Stephen Biddle, chercheur au Conseil des relations étrangères à Washington.
« Aujourd’hui, par contraste, la perception générale de l’Irak par l’opinion publique est moins négative et la couverture médiatique au cours des 6 derniers mois s’est concentrée sur la réduction de la violence et des pertes américaines. La guerre est aussi devenue bien moins visible ».
Même si le niveau de violence s’est réduit, les attaques et les attentats restent monnaie courante dans le pays, en particulier depuis janvier.
La journée de dimanche, marquée par plusieurs dizaines de morts à Bagdad et Mossoul, et des tirs de mortier ou de roquettes répétés sur la "zone verte" fortifiée du centre de Bagdad, en a fourni un exemple sanglant.
Tirs de roquettes
Jusqu’à 17 personnes ont péri dans des tirs de roquettes en dehors du complexe ultra-protégé qui abrite le siège du gouvernement irakien ou de l’Ambassade des Etats-Unis, a déclaré la police.
Des attaques dans d’autres secteurs de la capitale ont fait également plusieurs morts, et 15 soldats irakiens ont péri dans un attentat suicide à Mossoul, ville du Nord du pays que l’armée américaine considère comme le dernier grand bastion urbain d’Al Qaïda dans le pays.
« Al Qaïda et les éléments extrémistes de l’armée du Mahdi ont toutes les raisons de trouver les moyens d’accroître les pertes américaines d’ici à novembre », prévenait Anthony Cordesman avant l’annonce de la mort des 4 militaires américains.
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