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Le secrétaire général de l’ONU maintient sa position
18 septembre 2004
L’engagement américain actuel n’est pas conforme à la Charte de l’ONU : ces déclarations répétées ont provoqué récemment la fureur du président américain George Bush.
Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations unies l’a toujours dit. Selon lui, la Charte de l’ONU est très claire sur les circonstances dans lesquelles un recours à la force est possible ; et toute action ne s’inscrivant pas dans ce cadre n’est pas conforme à la Charte, a indiqué jeudi le porte-parole de l’ONU à New York, Fred Eckhard.
Ces remarques venaient en réponse aux questions de journalistes suscitées par une interview de Kofi Annan à la BBC, dans laquelle il a répété à plusieurs reprises que la guerre en Irak n’était pas conforme avec les dispositions de la Charte de l’ONU et que "de ce point de vue, du point de vue de l’ONU, elle était illégale".
Le porte-parole a indiqué que l’opinion selon laquelle l’opération militaire de 2003 en Irak n’était pas conforme avec la Charte avait été exprimée à plusieurs reprises par le secrétaire général.
Parmi de nombreux autres exemples, Fred Eckhard a cité le cas d’une rencontre avec des journalistes arabes, le 8 mars 2004, au cours de laquelle Kofi Annan avait déclaré qu’il avait "lui-même indiqué qu’une guerre qui ne serait pas en conformité avec la Charte et la crédibilité d’une telle action, sa légitimité serait largement mise en question. Et c’est ce qui s’est passé".
Toutefois, depuis la guerre, Kofi Annan n’a cessé d’insister sur la nécessité pour les nations présentes au Conseil de sécurité et pour les États membres dans leur ensemble de surmonter leurs différences et de se rapprocher et de souligner qu’il était de l’intérêt de tous de voir l’Irak retrouver une stabilité.
Les déclarations du secrétaire général de l’ONU, affirmant que la guerre déclenchée en Irak était "illégale", ont provoqué la colère de la Maison-Blanche. "Les Nations unies ont examiné les mêmes renseignements que ceux que j’avais et ont conclu que Saddam Hussein représentait une menace. Le Conseil de sécurité a voté par 15 contre zéro voix pour que Saddam Hussein avoue et désarme sous peine de faire face à de sérieuses conséquences. Je pense que quand les organisations disent quelque chose, il vaut mieux qu’elles s’y tiennent", a déclaré jeudi George W. Bush lors d’un discours de campagne électorale.
"Je suis l’un de ceux qui croient qu’il aurait dû y avoir une deuxième résolution du Conseil de sécurité des Nations unies pour donner le feu vert à l’invasion de l’Irak par les États-Unis, qui a renversé le régime de Saddam Hussein", avait notamment dit Kofi Annan.
Selon la principale organisation sunnite d’Irak
Washington entrave la libération des Français
D’après l’AFP, un responsable du Comité des oulémas, principale organisation religieuse sunnite d’Irak, a déclaré hier que l’armée américaine entrave la libération des journalistes français Christian Chesnot et Georges Malbrunot.
On rappelle que ces derniers ont été enlevés le 20 août avec leur chauffeur syrien Mohammad al-Jundi.
Pour le responsable religieux irakien, "nous avons le sentiment que les forces américaines ne veulent pas la liberté de ces otages, parce qu’à chaque fois que nous nous approchons de la solution, ces forces poussent à l’escalade de la situation militaire".
"Nous estimons que ces forces ont des objectifs politiques, en créant une ambiance chaotique qui ne contribue pas au progrès dans ce sens", a Mohammad Ayache al-Koubeissi. Il a précisé que "la libération des otages nécessite une atmosphère de sécurité qui ne s’est pas produite depuis que nous avons obtenu les premiers signes positifs pour leur libération".
Il affirme ainsi que l’armée américaine a délibérément bombardé la région de Latifiya, au Sud de Bagdad, quand elle a appris que les deux otages français s’y trouvaient. On se doute que de tels procédés n’ont pas contribué à la sérénité des négociations et voir un des plus hauts dirigeants religieux irakiens estimer que les occupants font tout pour maintenir trois otages aux mains de terroriste amène encore plus à douter des véritables motivations de la guerre déclenchée par George Bush et ses amis.
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