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Chroniques d’un pays occupé
19 novembre 2014
Considéré comme un héros par les Palestiniens et en Norvège, l’urgentiste Mads Gilbert ne pourra plus sauver des vies comme il l’a encore fait cet été à l’hôpital Al-Shira à Gaza pendant les bombardements. Les autorités israéliennes viennent de le désigner persona non grata à vie dans la bande de Gaza.
L’urgentiste a déclaré à la chaîne Al Jazeera, vendredi, qu’il a été refoulé au poste frontière d’Erez alors qu’il tentait de retourner à Gaza le 1er octobre pour apporter à nouveau son aide. « À ma grande surprise l’armée israélienne m’a refusé l’accès », a-t-il dit. « Quand j’ai demandé qu’elle en était la raison, on m’a répondu que c’était pour une question de sécurité. » Quand il a demandé une explication plus détaillée, il lui a été ordonné « de quitter les lieux, ou la police serait appelée ». Invité par les autorités palestiniennes à étudier l’impact des bombardements sur la population, et avec l’aval de son hôpital en Norvège, Mads Gilbert a été informé que l’interdiction était « pour une durée infinie, sans limite de temps ».
Mads Gilbert, médecin et militant norvégien de 67 ans, impliqué dans le travail de solidarité avec les Palestiniens depuis des décennies, est intervenu bénévolement à l’hôpital Al-Shifa à Gaza durant trois guerres israéliennes. Il a toujours été un critique virulent des campagnes militaires d’Israël et de son occupation du territoire palestinien.
« Nous avons demandé à Israël de changer sa décision. La situation humanitaire à Gaza est toujours difficile et nécessite la venue de personnels de santé » conteste la Norvége et demande à Israël de revoir sa décision. De son côté, le médecin-urgentiste norvégien ne veut pas renoncer. Selon lui, le gouvernement israélien « ne veut pas que les effets de ses attaques continues contre la population civile dans la bande de Gaza soit connus dans le monde ». « Dire au monde quelles sont les souffrances des Palestiniens dans la bande de Gaza est considéré comme un risque pour la sécurité », a-t-il dit à Al Jazeera, ajoutant que dans une perspective plus large, l’interdiction ne le concernait pas que lui, mais impactait sur le droit à l’aide internationale pour les habitants de Gaza. « Les autorités israéliennes ne sont, à mon avis, pas en position de refuser au peuple palestinien le soutien de la communauté internationale, « a-t-il déclaré, « il est impossible que nous acceptions que la population de Gaza soit privée de l’aide médicale et humanitaire, juste parce que le gouvernement israélien en a décidé ainsi. Je ne cesserai pas de me rendre à Gaza tant qu’il y aura des besoins médicaux », conclut-il.
Il a promis de continuer à dénoncer Israël et il a appelé à l’application de pressions politiques pour imposer la levée du siège « sans limite dans le temps » de Gaza.
(Source L’Humanité)
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