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Mali
2 mars 2013
Dans un contexte de crise économique et financière, l’armée française s’est engagée dans une offensive contre des groupes islamistes en janvier 2013. À ce moment, la guerre ne devait durer qu’une dizaine de jours et ne pas coûter au pays, dont l’économie est en récession.
Le 11 janvier 2013, le colonel Moussa Sinko Coulibaly avait déclaré à la presse que légalement, la contre-offensive devait durer une dizaine de jours. Huit semaines plus tard, « n os troupes font face à une incroyable résistance, les défenseurs sont acharnés et ne cherchent nullement à s’échapper », a déclaré une source gouvernementale au magazine “Le Point”. Pour l’heure, la guerre au Mali aura coûté plus de 100 millions d’euros.
2,7 millions d’euros par jour
Le gouvernement a décidé de lancer une série de réforme et mesures afin d’économiser le plus possible pour remplir les conditions imposées par Bruxelles, d’un déficit de 3% du PIB. Allocation familiale, allocation retraite, code du travail, de nombreux pans de la société française seront concernés par des coupes budgétaires et des taxations. Le 26 février, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a déclaré sur RTL que l’intervention militaire au Mali avait déjà coûté un peu plus de 100 millions d’euros depuis la mi-janvier.
Appelée opération Serval, l’offensive française vise à rétablir la souveraineté de Bamako dans la partie Nord du pays tombée aux mains de mouvements islamistes. Cette somme pourrait augmenter dans les prochaines semaines, car les forces militaires françaises devraient être présentes sur place plus longtemps que prévu.
Mort présumé du chef de Kativa
Abou Zeid, l’un des chefs de Katiba les plus puissants d’Al-Qaida au Maghreb islamique, aurait été tué par l’armée française vendredi 1er mars. Selon une source proche des opérations militaires, citée par l’Agence France Presse, « la date exacte de sa mort remonterait aux tout derniers jours ». Abou Zeid aurait été tué par des frappes aériennes dans la zone d’Etagho, à quelques dizaines de kilomètres d’Aguelhoc (au nord de Kidal).
Lors de son allocution, François Hollande a affirmé que l’opération déclenchée le 11 janvier pour chasser les djihadistes du nord du Mali était « sans doute dans sa phase ultime ». L’objectif de l’armée est d’aller les chercher une zone montagneuse où ils se sont réfugiés, dans le nord-est du pays. Devant l’Assemblée nationale, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a de son côté assuré mercredi 27 février, que les opérations « se poursuivront pendant plusieurs semaines, le temps nécessaire pour mettre ces groupes hors d’état de nuire » .
Céline Tabou
« Beaucoup, beaucoup » de morts Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a expliqué le 1er mars qu’il y a « très peu [de prisonniers]. Des morts, tous les jours. Deux morts français qui ont été très héroïques. [...] Deux morts français, beaucoup, beaucoup de morts djihadistes ». Ce dernier a refusé de donner une estimation chiffrée, assurant ne pas tenir une « comptabilité nécrologique » de ces « combats très violents ». Le ministre a également affirmé que des combats violents entre forces françaises et groupes islamistes armés se poursuivaient dans le nord du Mali. « On est en train de toucher au dur », a poursuivi le ministre. « C’est un secteur où nous pensions que les groupes terroristes les plus radicaux s’étaient réfugiés. Nous n’en étions pas sûrs. Maintenant nous en sommes certains. Nous sommes chez eux, nous sommes rentrés dans leur maison » a-t-il indiqué. L’intervention française devrait durer « jusqu’à ce que l’ensemble de ce secteur-là (soit) libéré complètement, pour l’heure l’opération Serval a déjà coûté à la France plus de 100 millions d’euros, et devrait coûter d’autant dans les prochaines semaines. |
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