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2 mars 2013
En début d’année 2011, une vague de protestations s’est propagée en Syrie, où les événements ont causé la mort de milliers de personnes. Non content d’apaiser les tensions, le président Bachar el-Assad a envoyé l’armée contre les manifestants dans tout le pays.
Depuis 2011, la situation humanitaire ne cesse de s’aggraver, si bien que l’ONU et d’autres organisations d’aide ne parviennent plus à répondre à la demande. Le haut-commissaire des Nations unies pour les réfugiés, Antonio Guterres, a indiqué que 936.000 réfugiés syriens étaient désormais enregistrés dans les pays voisins. De plus, la barre du million serait atteinte d’ici quelques semaines, sans compter les déplacés intérieurs encore plus nombreux ont expliqué les organisations.
Plus de 70.000 morts
Le 12 février 2013, Navi Pillay, Haut Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme a annoncé un bilan humain lourd qui « approche désormais probablement » les 70.000 morts. Ce sont plus de 60.000 personnes tuées dans le soulèvement contre le régime du président Bachar al Assad, qui a débuté en mars 2011 par des manifestations pacifiques. Ces dernières se sont transformées petit à petit en guerre civile, suite aux réponses violentes du président envers les manifestants.
Depuis l’arrivée des États-Unis, un tournant dans le conflit syrien. Le pays a annoncé une aide supplémentaire de 60 millions de dollars à l’opposition syrienne et pour la première fois des aides directes, sans toutefois livrer des armes. Cette aide intervient alors que les violences n’ont connu aucun répit depuis 2011. L’opposition a dénoncé un nouveau « massacre » de plusieurs de personnes dans le nord de la Syrie. De con côté, Damas, qui assimile la rébellion à du "terrorisme", a estimé que l’aide annoncée par les États-Unis, ne faisait qu’attiser la violence dans le pays.
L’opposition a fait part de sa déception, car celle-ci demande l’armement des rebelles, qui sont faiblement équipés face à la puissante armée du régime. Le chef de l’opposition, Ahmed Moaz al-Khatib a jugé irrecevable l’argument de la présence de jihadistes pour refuser des armes aux rebelles, raison pour laquelle les États-Unis n’ont pas fourni d’arme. Ce dernier a critiqué ceux qui « font plus attention à la longueur des barbes des combattants qu’à l’effusion du sang des enfants et aux bombardements du régime ».
Un possible plan de sortie de crise
Dans le nord-est de la Syrie, le Front jihadiste al-Nosra a pris le contrôle de l’important poste-frontière Yaaroubiyé entre la Syrie et l’Irak, dans la province pétrolière de Hassaka, a rapporté à l’agence de presse Reuters, l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
Le Front jihadiste al-Nosra est inscrit sur la liste américaine des « organisations terroristes » et « s’impose sur tous les fronts comme le fer de lance de la rébellion au détriment de l’Armée syrienne libre (ASL), principale composante de l’opposition armée ». Face à ce front suréquipé, l’opposition tente de se défendre et notamment de protéger « des cas de viol et de torture ont été enregistrés et des maisons ont été incendiées », on dénoncé des militants.
Au début de l’année 2012, la communauté internationale allait proposer un plan de sortie politique du conflit syrien qui dure depuis 21 mois. L’émissaire des Nations Unies pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, avait alors déclaré au Caire avoir une solution « qui peut être adoptée par la communauté internationale ». Le plan est discuté entre la Russie et la Syrie. En effet, Lakhdar Brahimi a rencontré à Moscou le ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, avec lequel il s’est accordé pour affirmer que « les chances d’atteindre une solution politique existent toujours », a indiqué le diplomate russe.
« Il y a une proposition pour une solution politique basée sur la déclaration de Genève prévoyant un cessez-le-feu, la formation d’un gouvernement avec des prérogatives entières et un plan pour des élections soit présidentielles soit parlementaires » a affirmé de son côté, Lakhdar Brahimi. Cette solution transforme le système politique en Syrie, d’un régime présidentiel à un régime parlementaire. Cependant, la déclaration de Genève a été adoptée le 30 juin dernier par le Groupe d’action pour la Syrie, composé des cinq est rejetée par l’opposition syrienne, qui refuse toute négociation tant que la communauté internationale ne se prononce pas sur le sort de Bachar al-Assad.
Céline Tabou
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