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Irak
L’ancien responsable des inspecteurs de l’O.N.U. revient sur "le" prétexte de la guerre
20 septembre 2003
L’Irak a-t-il volontairement fait croire qu’il avait des armes de destruction massive ? Cette hypothèse a été évoquée cette semaine par Hans Blix, qui a dirigé les inspecteurs de l’ONU en 2002 et 2003.
Interrogé sur la radio nationale australienne, il a d’abord estimé que l’Irak ne possédait plus de telles armes depuis la fin de la première guerre du Golfe : « je suis de plus en plus convaincu que l’Irak a, comme l’ont affirmé ses dirigeants, détruit presque tout de ce qu’il possédait à l’été 1991 », a-t-il déclaré. Il a cependant ajouté qu’il pouvait y avoir une explication aux obstacles mis aux inspecteurs en désarmement, suggérant que Bagdad avait voulu créer l’illusion de la présence des armes de destruction massive pour empêcher une invasion de l’Irak.
« Vous savez, si le régime irakien n’avait plus d’armes de destruction massive après 1991, il doit y avoir une explication à son comportement. Les dirigeants irakiens ont donné l’impression qu’ils refusaient l’accès (aux inspecteurs de l’ONU), etc », a-t-il dit, poursuivant : « je veux dire par là qu’on peut mettre sur sa porte une pancarte "attention au chien", sans pour autant avoir un chien ».
« On aurait déjà dû trouver »
Plus le temps passe », plus Hans Blix « pense qu’il est invraisemblable qu’on trouve quoi que ce soit ». Ces suggestions qui selon lui étaient déjà connues des États-Unis, relancent le débat sur les motifs avancés par la Grande-Bretagne et les Etats-Unis pour justifier la guerre.
Au cours de recherches menées ces quatre derniers mois, le Iraq Survey Group, une équipe anglo-américaine composée de 1.400 scientifiques, experts militaires et du renseignement, n’a pas été en mesure d’apporter la preuve de l’existence d’armes chimiques ou biologiques en Irak.
En Grande-Bretagne, le gouvernement du Premier ministre Tony Blair a été accusé d’avoir manipulé l’information pour faire pencher la balance en faveur de la guerre. Les responsables américains ont de leur coté minimisé dans leurs déclarations l’importance du volet des armes de destruction massive.
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