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Craintes de l’ONU après la demande du gouvernement de Libye
7 mars 2015
Des experts chargés de l’application des sanctions des Nations-Unies ont fait part de leurs inquiétudes que, si le Conseil de sécurité approuve la demande du gouvernement libyen pour obtenir des armes, des chars et des avions, certains de ces équipements ne soient transférés aux groupes armés agissant en dehors de l’autorité de l’Etat libyen.
La Libye a cherché à obtenir une autorisation des Nations-Unies pour importer 150 chars, 24 avions de chasse et 7 hélicoptères d’attaque, ainsi que des dizaines de milliers de fusils et de grenades propulsées par fusée et des millions de cartouches de l’Ukraine, de la Serbie et de la République tchèque.
La Libye ne peut pas importer d’armes sans autorisation de l’ONU.
Dans une note, les observateurs des violations de l’embargo sur les armes imposé à la Libye en 2011, ont indiqué que ces armes pourraient tomber, en fin de compte, entre les mains d’autres formations après des batailles ou si les forces libyennes perdent le contrôle des entrepôts d’armes.
Le gouvernement du Premier ministre, Abdallah Al-Theni reconnu par la communauté internationale, est installé à l’Est de la Libye depuis que le groupe armé de Fajr Libya (Aube de Libye) contrôle Tripoli après des combats l’an dernier et la formation de leur propre gouvernement.
Le chaos ambiant dans le pays a permis aux combattants de Daesh et Ansar Acharia de s’implanter en Libye, s’illustrant par une série d’actions violentes déstabilisant le pays et laissant planer une grande menace sur toute la région.
Les observateurs onusiens ont indiqué dans une lettre au Comité du Conseil de sécurité que "bien que la menace posée par les groupes terroristes en Libye représente un défi majeur pour les autorités, le Comité est préoccupé par l’utilisation potentielle de ces équipements dans des attaques contre les zones et installations sous le contrôle des formations concurrentes qui ne sont pas forcément des groupes terroristes ».
La Libye a appelé, avec le soutien de l’Egypte, à la levée de l’embargo sur les armes au profit de l’armée sous tutelle du gouvernement légitime. La Commission du Conseil de sécurité des Nations-Unies en Libye a exhorté instamment, depuis longtemps, pour améliorer le contrôle des armes en raison de craintes de voir ces armes tombéer aux mains des groupes de radicaux islamistes.
Des observateurs des sanctions de l’ONU ont affirmé, le mois dernier, que « les autorités libyennes ne sont pas en mesure d’arrêter le commerce illégal du pétrole ou le flux d’armes et ont besoin d’aide de forces navales internationales ».
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