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Convergence avec l’Assemblée nationale
12 décembre 2014, par
Les sénateurs ont suivi le vote du 2 décembre par les députés français adoptant la résolution demandant la reconnaissance de l’Etat de Palestine par la France ainsi qu’« une reprise sans délai » des négociations israélo-palestiniennes.
Le texte, défendu par le Parti Socialiste, EELV, le Parti de Gauche et le PCF, a été adopté par 154 voix contre 146. Ce vote intervient au lendemain de l’assassinat de Ziad Abou Eïn, haut responsable palestinien, par l’armée israélienne.
Pour l’auteur socialiste de la résolution, Gilbert Roger, la reconnaissance de l’Etat palestinien est « le premier pas d’une relation d’égal à égal entre Israël et les Palestiniens » et « la condition sine qua non de l’ouverture de véritables négociations ». Cependant, la Droite a majoritairement voté contre ce texte déposé par les trois groupes de Gauche.
Pour Roger Karoutchi de l’UMP, « c’est un signal qui sera mal interprété », reprenant ainsi l’argumentation d’Israël lorsque l’Assemblée avait voté le même texte. Une remarque rapidement déboutée par Gilbert Roger, qui a indiqué que « cette reconnaissance est la condition sine qua non à l’ouverture de véritables négociations entre Israël et la Palestine afin d’aboutir à une paix durable ».
Le 28 novembre, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, avait assuré que la France reconnaîtrait « sans délai » l’Etat de Palestine. Cette initiative française faite suite aux votes par les parlements espagnol et britannique de la reconnaissance de l’Etat palestinien, qui a été précédés par la Suède.
Les députés irlandais ont aussi adopté mercredi une motion symbolique demandant à leur gouvernement de reconnaître un État palestinien. Pendant ce temps, la tension reste intense entre Israéliens et Palestiniens.
Le haut responsable palestinien, Ziad Abou Eïn, chargé du dossier de la colonisation au sein de l’Autorité palestinienne, est mort mercredi 10 décembre à la suite de heurts avec des soldats israéliens. Ce dernier était venu participer avec 300 personnes, Palestiniens et militants d’ONG, à une marche contre la confiscation des terres palestiniennes.
Les manifestants ont été arrêtés par un barrage de soldats israéliens, certains d’entre eux ont violemment repoussé Ziad Abou Eïn en l’empoignant au col et à la gorge. Des témoignages directs ou indirects, cités par les agences de presse, ont fait état de coups de poing portés à son torse, et même d’un coup de crosse.
Les manifestants ont filmé la scène, dont les images circulent sur les réseaux sociaux, celles-ci montrent une empoignade confuse et véhémente. Sur une autre vidéo, il apparait ne explosions de lacrymogène au pied du responsable palestinien, qui peine par la suite à respirer. Ce dernier a succombé en arrivant à l’hôpital.
Les dernières paroles à la presse de Ziad Abou Eïn, avant les incidents, étaient pour dénoncer « une armée d’occupation qui pratique la terreur et l’oppression ». Le président palestinien, Mahmoud Abbas a dénoncé un « acte barbare », décrétant trois jours de deuil et déclaré que toutes les options étaient “ouvertes”.
Ce dernier a également menacé d’interrompre la coopération sécuritaire avec l’État hébreu. Selon Le Monde, « dans les cercles politiques à Ramallah », il est possible que la coopération sécuritaire avec Israël s’interrompt. Un sujet qui est revenu à plusieurs reprises sur la table cette année, après l’échec des négociations de paix avec Israël et la longue guerre dans la bande de Gaza.
Des représentants en Jordanie ont dénoncé « un crime de plus sur la liste des crimes israéliens répétés contre le peuple palestinien sans défense ». Alors que le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a demandé à Israël une « enquête rapide et transparente ». Pour sa part, le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a évoqué « la nécessité de calmer les choses et d’agir de façon responsable ».
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