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Enquête sur l’attaque chimique du 21 août
17 septembre 2013
Les éléments à la disposition des inspecteurs de l’ONU sur l’attaque chimique du 21 août ne permettent pas de désigner un coupable. La solution politique est désormais la seule issue au conflit. La défaite de l’Occident se confirme.
Dimanche, les inspecteurs de l’ONU chargés d’enquêter sur l’utilisation d’armes chimiques en Syrie ont rendu leur rapport au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon. Ce dernier a ensuite réuni à huis clos hier les 15 membres du Conseil de Sécurité.
Selon les premiers éléments du rapport, les experts des Nations unies affirment avoir des « preuves flagrantes et convaincantes » de l’utilisation de gaz sarin lors du massacre perpétré le 21 août près de Damas. Ce gaz aurait été envoyé avec des roquettes sol-sol.
Tout comme le précédent rapport sur l’utilisation de ces armes au cours des mois précédents, rien ne permet de désigner le responsable de l’attaque du 21 août.
Rappelons que deux versions sur ce drame s’affrontent. Dans une tribune libre publiée par le "New York Times" le 11 septembre dernier, Vladimir Poutine, Président de la Russie, indique que ce sont les rebelles qui ont fait le coup. Pour sa part, le gouvernement français accuse le pouvoir syrien.
Quoi qu’il en soit, chaque jour qui passe écarte davantage la menace de l’élargissement de la guerre civile en Syrie à un conflit international impliquant directement les troupes de l’OTAN. Russie et États-Unis sont en effet parvenus à un accord le week-end dernier à Genève, marginalisant définitivement le gouvernement français sur ce dossier.
Désormais, l’heure est à la recherche d’une issue politique avec le démantèlement de l’arsenal chimique syrien. C’est donc un échec infligé à l’Occident et à l’opposition syrienne qui ne cesse de réclamer à l’OTAN des bombardements sur Damas.
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