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500 millions de dollars avec les Etats-Unis
9 juin 2014
La Tunisie a signé mardi dernier, avec les Etats-Unis, un accord de garantie de prêt lui permettant d’obtenir un montant total de 500 millions de dollars, faisant de l’endettement un destin collé aux différents gouvernements qui se sont succédé depuis l’indépendance du pays, mais aussi une malédiction pour les Tunisiens.
L’accord signé avec les Etats-Unis est le dernier d’une série contractée avec plusieurs pays et organisations parmi lesquels figurent l’Union européenne, la Banque mondiale dont les prêts, assortis d’intérêts, accordés à la Tunisie, sont devenus un lourd fardeau pour les Tunisiens.
En plus de payer ces prêts accordés avec des conditions et obligations imposées par les bailleurs, les Tunisiens craignent plus une dépendance économique, voire politique et sécuritaire vis-à-vis de leurs ’’bienfaiteurs’’.
L’endettement a toujours été une équation pour le pouvoir en Tunisie depuis le début du colonialisme avant de jouer un rôle essentiel dans l’édification de l’Etat indépendant qui, pour justifier l’endettement extérieur, a avancé plusieurs raisons dont celle relative au fait que la Tunisie est dépourvue de richesses naturelles, contrairement à ses voisins riches en pétrole, allusion faite à l’Algérie et à la Libye.
Mais, la question est : les bailleurs accordent-ils ces prêts sans calculs et conditions ? ou, au contraire, accordent-ils ces facilités pour imposer leur influence et domination ?
En réalité, les élites politiques n’ont pas donné assez d’importance durant la période post-coloniale aux programmes et mécanismes qui permettent au pays de se débarrasser des causes et de la faiblesse à l’origine du sous-développement ; elles se sont contentées de slogans lancés et développés par les occidentaux comme ’’la coopération internationale’’, ’’l’échange d’expériences’’, ’’les aides économiques’’ et ’’les accords bilatéraux’’ dans le cadre de relations déséquilibrées qui permettent de traiter au même pied d’égalité un partenaire fort et dominateur d’un coté et de l’autre, un partenaire faible et demandeur.
Ainsi, la Tunisie, sous Zine El-Abidine Ben Ali, s’est dangereusement endettée, espérant pouvoir s’adapter aux conditionnalités des banques et institutions financières internationales, ce qui a plongé le pays dans des problèmes à l’origine de l’appauvrissement des catégories socio-professionnelles et la marginalisation de nombreuses régions.
L’avènement de la Troïka au lendemain de la révolution en 2011 a, à cause de sa mauvaise gestion, davantage aggravé la crise économique et sociale de la Tunisie, car le volume de l’endettement, ces trois dernières années, est équivaut à la moitié de la totalité des dettes accumulées durant deux décennies par le régime de Ben Ali.
La Troïka a ainsi porté l’endettement extérieur presque au niveau de la moitié du Produit intérieur brut (PIB).
Cette situation a généré d’autres crises, faisant dire au ministre tunisien de l’Economie et des Finances, Hakim Hamouda, que la situation économique du pays est critique, notamment pour le trésor public et la hausse de l’endettement qui va atteindre à la fin de cette année environ 50%, voire plus.
Plusieurs experts, dont l’économiste tunisien, Maaz Jaoudi, se posent des questions sur la destination des sommes contractées par la Tunisie durant la gouvernance de la Troïka qui a obtenu un montant de 16 milliards de dinars tunisiens sous forme de prêts extérieurs.
Les promesses faites par des pays occidentaux et des institutions financières internationales pour aider la Tunisie en lui octroyant des prêts, l’ont fait certainement à des conditions qui aliènent la souveraineté nationale, estime M. Jaoudi.
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