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4 août 2006
Avant-hier, mercredi, une intense activité diplomatique - comme le veut la formule non moins diplomatique - semble avoir permis de rapprocher les dernières divergences entre les 5 membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU, la Chine, les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, et la Russie.
Hier jeudi, ces mêmes membres devaient se réunir pour discuter directement d’un texte en vue de l’adoption prochaine d’une résolution. "J’ai bon espoir", déclarait l’ambassadeur de Grande-Bretagne, Emyr Jones Parry. En étant prudent, on peut dire que les positions se sont rapprochées et que "la perspective d’un accord peut être envisagé", d’après l’ambassadeur de France, Jean-Marc de La Sablière.
Dans les coulisses et discrètement, les discussions bilatérales continuent, particulièrement entre Américains et Français, afin d’aplanir les dernières divergences. Les États-Unis semblent évoluer vers la position commune, et en particulier de la position française. Et on pourrait espérer dans les jours à venir une résolution réclamant un cessez-le-feu au Liban.
Le projet de résolution
Le projet de résolution présenté par la France appelle "à la cessation immédiate des hostilités" opposant depuis le 12 juillet Israël et le Hezbollah, et prévoit de jeter les bases nécessaires à un accord-cadre politique en vue "d’un cessez-le-feu permanent et d’un règlement durable". Par ailleurs, l’idée a été avancée de proposer deux résolutions successives, la première, brève, appelant à une cessation des hostilités, la seconde, plus élaborée, définissant les détails d’un plan de règlement durable du conflit.
Un des derniers points de divergences entre les États-Unis et la France est, sur proposition de Paris, l’envoi d’une force internationale au Liban conditionné à l’instauration d’un cessez-le-feu et à un accord politique, tandis que Washington n’a pas la même appréciation concernant ce qu’on pourrait appeler "la cessation des hostilités et la façon de la rendre permanente, mais il y a un accord quasi-complet sur le cadre politique fondamental qui doit être mis en place", a précisé M. Bolton, l’ambassadeur américain auprès de l’ONU.
La réunion de pays contributeurs potentiels à une future force internationale au Liban, qui devait avoir lieu hier jeudi, a été reportée pour la deuxième fois en une semaine, après l’annonce de la non-participation de la France, qui l’estime "prématurée". "Il faut mettre les choses dans l’ordre : cessation des hostilités, accord politique et enfin déploiement de la force pour faire respecter l’accord politique", a déclaré à Paris un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Denis Simonneau.
Israël continuerait “sa” guerre...
Israël veut accélérer ses opérations, les États-Unis, tout en refusant un cessez-le-feu immédiat, ayant commencé à montrer des signes d’impatience face à l’offensive de son allié, qui a dévasté le Liban et entraîné une grave crise humanitaire avec le déplacement du quart de la population. Les dirigeants israéliens affirment qu’il leur faut encore plusieurs jours pour atteindre leur objectif, le ministre de la Justice Haïm Ramon évoquant les alentours du 12 août pour la fin de l’offensive.
Mais le ministre de la Défense Amir Peretz a affirmé qu’Israël ne conduirait pas "son opération selon les pressions américaine et européenne (mais) conformément à (ses) objectifs". Et le Premier ministre Ehud Olmert a dit que le conflit pourrait s’achever dès que le Conseil de sécurité de l’ONU autoriserait l’envoi d’une force internationale "solide" au Liban Sud. Il a souhaité qu’elle soit formée de 15.000 hommes.
États-Unis
Divergences de vue entre Bush père et Bush junior concernant le Proche-Orient
Il est de notoriété publique que le président des États-Unis Bush fils et le Premier ministre israélien Ariel Sharon, avaient de très bonnes relations. Tandis que Bush père avait en effet eu une position très dure à l’égard d’Israël, surtout au sujet des territoires occupés que Sharon avait eu la volonté de développer.
Quelques mois avant le 11 septembre 2001, "Bush junior avait indiqué à son hôte lors d’une rencontre à la Maison-Blanche et à la surprise générale de son entourage, qu’il était prêt à utiliser la force pour protéger Israël" relate le “New York Times”. Cette passion pour Israël représente le fossé philosophique et générationnel entre les deux Bush, et, "tandis que le fils continue à se tenir fermement aux côtés d’Israël, les conseillers du père se sentent de plus en plus mal à l’aise", continue le journal.
Diplomate arbitre contre évangéliste conservateur
À la différence du père, qui se voyait en arbitre neutre de la politique délicate du Proche-Orient et avait une grande expérience de la diplomatie et entretenait des liens solides avec plusieurs leaders arabes, le fils s’est donné pour priorité la lutte antiterroriste et "l’installation de la démocratie" dans la région.
"Ce sont les attentats du 11 septembre 2001 qui ont définitivement poussé George W. à s’associer à Israël, avec l’idée que pour la première fois, les Américains ont pu ressentir dans leur chair ce que les Israéliens ont toujours connu", souligne Shai Feldman, un universitaire israélien installé à Tel-Aviv, qui ajoute que là bas le président est très apprécié.
(Source : “Courrier International”)
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