
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Tunisie
17 février 2011, par
Le pays est en pleine reconstruction, et le gouvernement a décidé d’établir l’état d’urgence afin d’éviter « tout ce qui peut nuire à la sécurité du pays, et assurer la sécurité des citoyens et la protection des biens », notamment les contre-révolutionnaires pointés du doigt par le Premier ministre tunisien.
La révolution tunisienne aurait fait plus de 230 morts et 500 blessés, certains expliquent que la révolution n’aura rien apporté de plus au pays, et aux jeunes au chômage. Celle-ci a conduit des milliers de Tunisiens à partir pour l’Europe. « Je voulais partir pour trouver un emploi. A cause des troubles, la situation est difficile, des sociétés ont fermé et j’ai voulu tenter ma chance en Europe », a raconté Abdelhamid Betaib, âgé de 18 ans et diplômé en mécanique, à “L’Express”.
L’emploi reste la préoccupation majeure
De son côté, Foued Mebazaa, président de la République par intérim, a annoncé le 9 février l’ouverture « prochainement » de « négociations sociales à l’échelle nationale », mais toujours pas de plan massif de création d’emplois (près de 80.000 emplois doivent être créés). Face à cette situation, le gouvernement de transition, dirigé par Mohammed Ghannouchi, tente de renforcer sa crédibilité et autorité. D’autant plus que le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Ounaïes, a démissionné, après que des fonctionnaires aient demandé son départ suite aux déclarations tenues à Paris : « J’aime écouter Michèle Alliot-Marie en toutes circonstances et dans toutes les tribunes ».
Cette démission arrive au moment où l’Italie doit faire face à un exode massif de Tunisiens à la recherche d’un emploi en Europe. Le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, a annoncé qu’un accord avec le gouvernement tunisien avait été signé mardi 15 février, afin de faire face à l’immigration clandestine en provenance de Tunisie. Rome et Tunis se sont résolus à une « coopération pragmatique et opérationnelle » pour régler le problème migratoire qui oppose les deux pays.
Céline Tabou
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)