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Discours de François Hollande à Dakar
13 octobre 2012
Arrivé à Dakar, le 12 octobre, François Hollande effectue sa première visite en Afrique depuis son élection en mai. Ce dernier souhaite écrire une « nouvelle page » de la relation entre la France et l’Afrique, fondée sur la « franchise », la « transparence » et le « respect ».
Le président français a été accueilli à l’aéroport par son homologue sénégalais Macky Sall, ce dernier a prononcé quelques heures plus tard un discours très attendu sur la politique africaine de la France devant l’Assemblée nationale sénégalaise. François Hollande se rendra aujourd’hui au Sommet de la francophonie, à Kinshasa.
Effacer le discours de Nicolas Sarkozy
Cinq ans après le discours très controversé de Dakar de son prédécesseur Nicolas Sarkozy, prononcé le 26 juillet 2007, François Hollande devra faire oublier les déclarations sur « l’homme africain (qui) n’est pas assez entré dans l’histoire » destinées à évoquer le « drame de l’Afrique ». Cependant, le chef de l’État a indiqué, dans une interview accordée depuis l’Élysée à France 24, RFI et TV5 Monde, qu’il n’allait pas faire un discours « pour effacer un précédent, je viens prononcer un discours pour écrire avec l’Afrique une nouvelle page ».
Ce dernier a ajouté : « Je viens en Afrique pour tenir le discours de la franchise, de la transparence et du respect. Les temps ont changé, la France est maintenant désireuse à la fois de respecter tous ses interlocuteurs, mais aussi de dire la vérité ». Pour François Hollande, la « vérité n’est pas celle de la France » mais « celle des droits fondamentaux, des libertés essentielles et de la démocratie ». Au cours des mandatures successives, les chefs d’État français ont tenté de refermer la page de la Françafrique, mais l’actualité et l’histoire en veulent autrement.
La présence de François Hollande au sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) à Kinshasa aura entaché cette volonté de « vérité ». Cette participation, dénoncée par plusieurs associations, dont Survie France, « enterre définitivement ses promesses d’en finir avec le système de la Françafrique ». Le chef de l’État français se rendra en République démocratique du Congo, où Joseph Kabila, qualifié de « dictateur du continent, a imposé par les armes, la répression des opposants et la violation des urnes », a expliqué Fabrice Tarrit, président de l’association Survie, sur son site internet.
Ne pas abdiquer ses intérêts économiques
Selon le chef de l’État, la France n’abdiquera pas ses ambitions commerciales et économiques sur le continent, face à celles de la Chine ou des États-Unis, car « 20% de l’économie en Afrique concerne des entreprises françaises, c’est considérable », a indiqué François Hollande. À l’heure du bouleversement de l’ordre mondial et des crises économiques et financières, la France tente de conserver ses positions au sein du continent africain, à travers notamment l’OIF.
Créée lors de la Conférence de Niamey en 1970, l’Agence de coopération culturelle et technique (ACCT), devenue Organisation internationale de la francophonie avait pour mission de faire connaître la langue et la culture française dans le monde. Au fur et à mesure des années, elle est devenue une « enceinte politique, avec la nomination d’un secrétaire général, l’adoption d’une Charte et un élargissement constant à des pays comptant parfois très peu de locuteurs français mais qui voient un grand intérêt à intégrer l’amicale des chefs d’État francophones, espace de solidarité politique à défaut d’être un vrai outil d’échange culturel et linguistique », a expliqué Fabrice Tarrit. Conscient de la tenue des élections au Congo, en novembre 2011, François Hollande devrait indiquer dans son discours que les élections « n’ont pas été regardées comme étant complètement satisfaisantes ».
Céline Tabou
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