
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Flux financiers illicites
4 juin 2013
Le Panel de haut niveau sur les flux financiers illicites (FFI) a conclu les consultations de trois jours avec un large éventail de parties prenantes au Nigeria visant à une meilleure compréhension des effets néfastes des flux financiers illicites sur le développement de l’économie nigériane. Les consultations et le dialogue ont également porté sur les principaux défis à relever dans la lutte contre le problème de la FFI au Nigeria, les réponses institutionnelles et politiques du pays à relever le défi de sorties illicites de ressources et l’efficacité de ces réponses.
Le Nigeria est l’un des sept études de cas de pays étant menées sur les flux financiers illicites en provenance d’Afrique dans la préparation d’un rapport complet qui contiendra les recommandations du Panel. Le rapport portera sur les moyens de renforcer des réponses africaines aux flux financiers illicites en provenance du continent. Les six autres pays sont l’Algérie, la République démocratique du Congo, le Kenya, le Libéria, le Mozambique et l’Afrique du Sud.
A l’invitation de Son Excellence Goodluck Jonathan, Président de la République fédérale du Nigeria, le Groupe de haut niveau dirigée par Son Excellence Thabo Mbeki, ancien président de l’Afrique du Sud a tenu des réunions avec le Président, des ministres et d’autres représentants de l’exécutif, le législatif et les agences de gouvernement à Abuja les 20-21 mai 2013. Elle a été suivie par des réunions avec diverses parties prenantes, y compris la société civile et le secteur privé à Lagos le 22 mai.
D’autres membres du Groupe de haut niveau présents étaient M. Segun Apata, M. Raymond Baker, Mme Zainab Elbakri et M. Abdalla Hamdok, Secrétaire exécutif adjoint et président du Comité technique de la CEA pour le programme FIF. M. Emmanuel Nnadozie, Chef du Secrétariat de la commission technique pour le programme FIF et Mme Mojanku Gumbi, membre du Secrétariat du Comité technique pour le programme FIF a également pris part à la consultation de haut niveau au Nigeria.
Il est prévu que les consultations menées par le Panel de haut niveau joueront un rôle crucial dans la détermination des options et des recommandations politiques appropriées sur la façon de traiter efficacement le problème de la FFI dans le pays et le rôle des différentes Institutions interne, externe, étatiques et non-étatiques, les acteurs, organismes et parties prenantes peuvent jouer dans la résolution du problème. Cela permettra d’assurer que le rapport du Groupe d’experts contient des informations spécifiques à l’appui des recommandations concrètes aux gouvernements nationaux et autres parties prenantes sur la lutte contre les impacts du FFI.
Établi par la Commission économique pour l’Afrique, le Panel de haut niveau sur les flux financiers illicites en provenance d’Afrique, a été inauguré le 5 Février 2012, Johannesburg, Afrique du Sud. On estime dans un rapport de la CEA que jusqu’à 50 milliards de dollars US s’écoule de l’Afrique illicitement chacun, ce qui est environ le double du montant de l’aide que l’Afrique reçoit. Ce rapport examine l’ampleur et les défis du développement des flux financiers illicites en provenance d’Afrique. La discussion de ces transferts transfrontaliers de capitaux illicites, notamment en provenance des activités des entreprises et les actes criminels et la corruption et le vol par des fonctionnaires du gouvernement souligne l’impact négatif sur le développement et la gouvernance en Afrique.
Les flux financiers illicites étouffent le progrès socio-économique de l’Afrique, épuise les ressources en devises limitées, réduit les recettes fiscales du gouvernement, augmente la corruption, aggrave la dette extérieure et augmente la dépendance économique de l’Afrique. Le défi de la gouvernance du FFI comprend affaiblissement des institutions publiques et le développement du secteur privé national, ainsi que la réduction de la capacité de l’État à fournir des biens et des services publics pour améliorer le bien-être pour le peuple.
ADDIS ABEBA, Ethiopie, 3 juin 2013/African Press Organization (APO)
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