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27 juin, par
La Banque Africaine d’Import-Export (Afreximbank) a publié aujourd’hui son Rapport phare sur le commerce africain 2025, intitulé « Le commerce africain dans un environnement financier mondial en mutation », lors des Assemblées annuelles d’Afreximbank (AAM2025) à Abuja.
Le rapport examine les performances du commerce africain dans un environnement mondial difficile caractérisé par des tensions géopolitiques croissantes, de nouvelles barrières commerciales et une incertitude financière, et analyse comment le continent pourrait tirer parti de ces défis pour améliorer sa résilience et s’adapter à un environnement en évolution.
Le Professeur Benedict Oramah, Président d’Afreximbank et du Conseil d’administration de la Banque, a déclaré : « Le rapport de cette année fournit une feuille de route convaincante pour que l’Afrique se repositionne dans une économie mondiale volatile. Du renforcement des systèmes de financement du commerce à l’accélération de la ZLECAf, le message est clair : L’Afrique doit transformer la fragmentation mondiale en une opportunité pour l’industrialisation, le progrès numérique et un meilleur contrôle sur ses systèmes financiers ».
Dr. Yemi Kale, Économiste en chef du Groupe Afreximbank et Directeur général de la Recherche, a ajouté : « En dépit des obstacles mondiaux, le commerce de l’Afrique a fortement rebondi en 2024, les échanges entre les pays africains ayant augmenté de 12,4 % pour atteindre 220,3 milliards de dollars US, contre une contraction de 5,9 % en 2023. Cela montre les avantages tangibles de la mise en œuvre de la ZLECAf, alors même que le continent fait face à une inflation croissante, à des risques de dette souveraine et à un déficit persistant de financement du commerce ».
Le rapport montre que le commerce total de marchandises de l’Afrique a renoué avec la croissance, avec une hausse de 13,9 % en 2024, pour atteindre 1500 milliards de dollars US, après une contraction de 5,4 % en 2023. Toutefois, l’Afrique ne représente encore que 3,3% des exportations mondiales. C’est un signal clair. Le continent doit intensifier ses efforts en s’éloignant des exportations de matières premières et en accélérant son processus d’industrialisation s’il veut améliorer son intégration dans les chaînes de valeur mondiales et stimuler le commerce intra-africain. L’Afrique a également besoin d’un meilleur accès au financement du commerce pour combler le déficit estimé à environ 100 milliards de dollars US.
Alors que l’économie mondiale a ralenti pour atteindre une croissance de 3,3 % en 2024 et devrait encore chuter en 2025, l’Afrique est restée stable. L’économie du continent a progressé de 3,2 %, soutenue par les prix élevés des matières premières et l’amélioration des finances publiques. Toutefois, la croissance reste inégale sur le continent.
Le rapport sur le commerce en Afrique 2025 d’Afreximbank souligne l’importance de faire progresser la ZLECAf, qui est en train de servir de base à la résilience commerciale dans toute la région. Le document souligne également l’utilisation accrue du Système panafricain de paiement et de règlement (PAPSS), qui contribue à réduire la dépendance à l’égard des devises étrangères et à rendre le commerce transfrontalier plus efficace.
En outre, le rapport offre des conseils pratiques pour rendre les règles et réglementations commerciales plus cohérentes entre les pays, libérer les investissements des institutions africaines telles que les fonds de pension et les fonds souverains, et utiliser le nouveau siège de l’Afrique au G20 pour accélérer les réformes mondiales qui se font attendre. Il s’agit notamment d’assurer une part plus équitable des ressources financières mondiales, telles que les droits de tirage spéciaux, une monnaie de réserve internationale créée par le FMI, et d’améliorer l’accès au financement climatique. Il appelle également à des changements dans les notations de crédit afin de mieux refléter la force et le potentiel des économies africaines.
Le rapport souligne l’importance croissante de l’Alliance des institutions financières multilatérales africaines (AAMFI), qui accroît le financement du développement et contribue à reconstruire un écosystème financier qui fonctionne mieux pour les Africains. En 2024, Afreximbank a décaissé à elle seule plus de 17,5 milliards de dollars US en financement du commerce. La Banque prévoit de porter ce montant à 40 milliards de dollars US d’ici 2026.
Au moment où l’Afrique est confrontée à un environnement mondial en mutation rapide, le rapport offre plus qu’une simple analyse. Il fournit un plan clair et pratique pour construire une économie africaine plus forte, plus équitable et plus résiliente, à partir du continent.
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