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Selon Oxfam France
6 mai 2013
Le 15 mai prochain, la France co-organisera avec l’Union européenne une conférence des donateurs pour le développement du Mali à Bruxelles, à laquelle participera François Hollande. Les ONG craignent que la France arrive les mains vides à cette conférence, et utilise le déblocage de crédits déjà engagés pour masquer l’absence de fonds additionnels destinés à ce pays, affecté par le récent conflit et une insécurité alimentaire chronique.
PARIS, France, 6 mai 2013/African Press Organization (APO)
Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a déclaré que « le 15 mai prochain toutes le forces de la France seront mobilisées, mais aussi celles de l’Europe et de la Communauté internationale, en faveur du développement » [1]. Cet engagement politique doit se traduire par l’annonce d’une contribution française à la mesure des enjeux : sortir le pays de la crise, satisfaire les besoins humanitaires immédiats [2], soutenir la société civile malienne et contribuer à financer la stratégie de développement mise en place par les autorités maliennes endossée par la communauté internationale. [3]
Or, il apparaît que les autorités françaises s’apprêtent à faire notamment passer pour contribution une enveloppe de 150 millions d’euros destinés au Mali, constituée des fonds déjà engagés et gelés suite au coup d’Etat de mars 2012 . Selon Christian Reboul, d’Oxfam France. « Le risque est grand de voir le gouvernement entretenir délibérément l’ambiguïté sur la nature des crédits annoncés durant la conférence afin de masquer le fait que la France ne mobilisera pas de crédits additionnels pour l’aide au Mali. »
De plus, cette enveloppe est constituée aux deux tiers de prêts. Seul un tiers le sera sous forme de subventions. Christian Reboul poursuit : « Face aux colossaux enjeux de reconstruction et de développement dans la région, la conférence qui s’ouvrira le 15 mai à Bruxelles doit être une conférence des donateurs, non pas une conférence des préteurs. »
Selon Guillaume Grosso, directeur de ONE France, « les autorités françaises n’ont cessé de communiquer sur trois volets : le volet sécuritaire, le volet démocratique et le volet développement. Il est aujourd’hui temps de venir assurer sur le long terme le financement du volet développement afin que le Mali sorte durablement de la crise qu’il connaît. »
Dans le contexte actuel de défiance de la population malienne à l’égard de ses représentants politiques, « un des enjeux fondamentaux est d’apporter un soutien fort – technique et financier – à la société civile malienne pour lui permettre de participer pleinement au processus de réconciliation et de reconstruction du pays » précise Philippe Mayol, responsable du service Afrique au CCFD-Terre Solidaire.
Les ONG demandent que les autorités françaises débloquent des crédits réellement additionnels pour venir appuyer la stratégie de sortie de crise et de développement du pays et que l’annonce en soit faite lors de la Conférence des donateurs du 15 mai prochain.
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