Afreximbank apporte son soutien aux pays des Caraïbes touchés par l’ouragan Beryl

5 septembre, par Rédaction Témoignages

L’ouragan Beryl a ravagé les îles grenadiennes de Carriacou et de Petite Martinique, ainsi que plusieurs îles de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, dont Union Island et Mayreau

En réponse aux dégâts causés par l’ouragan Beryl, la Banque Africaine d’Import-Export (Afreximbank) (www.Afreximbank.com) a fait don de plus d’un demi-million de dollars US pour soutenir les efforts de secours et de reconstruction dans les pays des Caraïbes qui ont été durement touchés.

L’ouragan Beryl a ravagé les îles grenadiennes de Carriacou et de Petite Martinique, ainsi que plusieurs îles de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, dont Union Island et Mayreau. L’ouragan a aussi touché Sainte-Lucie et la Barbade, dans une moindre mesure.

M. Okechukwu Ihejirika, Directeur des opérations par intérim du Bureau des Caraïbes d’Afreximbank, a remis une lettre de solidarité du Professeur Benedict Oramah, Président d’Afreximbank et du Conseil d’administration de la Banque aux Premiers ministres des quatre pays.

Dans sa lettre, le Professeur Oramah a souligné que les pays touchés faisaient partie des 11 pays de la Communauté des Caraïbes (CARICOM) qui ont adhéré à Afreximbank en vertu d’un traité de partenariat conclu entre Afreximbank et les États membres de la CARICOM. Il a ajouté qu’il était important pour la Banque « d’être à leurs côtés en cette période difficile ».

« L’annonce des dégâts causés par l’ouragan nous a profondément attristés, et nos pensées vont à toutes les personnes touchées par cet événement dévastateur. Cependant, la force et la résilience du peuple caribéen sont bien connues ; nous ne doutons pas que ces qualités se manifesteront au cours de cette période difficile », a déclaré le Président Oramah.

Outre l’exécution de son mandat en matière de commerce et de développement, la Banque prend également des mesures proactives pour aider les pays à faire face aux urgences climatiques et sanitaires mondiales, compte tenu de la fréquence et de l’intensité croissantes des catastrophes climatiques et sanitaires en Afrique et dans les Caraïbes.


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